Euh je pense qu’avec PK, euh, peut-être la chose il avait beaucoup d’autres intérêts à l’extérieur de la glace. Tsé je pense, c’est un peu comme un cheval, il était peut-être wild à certains moments.
Jacques Martin
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Marc-André est très apte à recevoir de l’aide, soit de son entraîneur des gardiens de but, soit de son psychologue. Il a mis en visite, disons, ses habitudes pis je suis sûr qu’on va avoir une bonne saison de lui.
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Euh, y’a tellement de facettes qui doit être sous la dirigeance du directeur-gérant, donc c’est important de bien s’entourer.
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Ça devrait regorger d’individus aux aspects importants et être excitant pas à peu près.
Claude J. Charron, monsieur Bonne semaine, et Jacques Martin se sont entendus verbalement. L’ancien coach du Canadien écrira son autobiographie au cours des prochains mois.
viaGauthier saute le parapet | Canadien | Sports | Le Journal de Montréal.
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Bien euh… j’pense que l’aspect le plus… euh… fragrant peut-être, euh, l’inconstance dans ce qui concerne notre jeu, euh… c’est de dévier de la façon qui nous amène du succès.
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Partout dans le monde civilisé, on prend actuellement des mesures pour que les choses recommencent à avoir de l’allure. Papandréou, out. Berlusconi, out. Pendant ce temps, Canadien, lui, ne fait rien. Jacques Martin est toujours en poste.
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Il est de mise par les temps qui courent de paniquer au sujet de la situation de Canadien, tout en insistant pour dire qu’il ne faut pas paniquer encore. La plupart des experts s’entendent d’ailleurs pour dire qu’il n’est pas encore temps de parler de l’éventuel départ de Jacques Martin. C’est contradictoire, mais c’est comme ça.Heureusement, nous au Sportnographe n’avons pas peur d’aller jusqu’au bout et de capoter bin raide. De toute façon, notre crédibilité est tellement élevée qu’en perdre un peu ne nous ferait pas un pli sur la patente à gosses. C’est pourquoi nous disons : Jacques Martin, dehors !
En effet, malgré que Canadien ait bien fait contre le Colorado en plus d’obtenir une victoire morale à sa fiche contre le Buffalo, nous préférons nous fier à la dernière rencontre pour estimer que Martin a perdu son vestiaire.
Cette mascarade de trois mauvaises périodes a assez duré. Geoff Molson doit mettre ses culottes et engager Patrick E. Roy qui saura fouetter les Erik Cole de ce monde avant d’emmener Canadien vers la Stanley. Voilà.
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Tsé on avait parlé de sortir la rondelle par le centre au lieu du milieu de la glace, mais ça n’a pas été exécuté.
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C’est Jacques Demers qui l’a dit sur les ondes de TVA Sports (une combinaison gagnante ici) : l’atmosphère autour de Canadien lors du tournoi de golf ressemble à s’y méprendre à celle autour de l’édition 1992-1993 de l’équipe. Vous savez, celle qui a gagné la Stanley ?Faut dire que le sénateur vendeur de chars avait fait la même remarque l’an dernier avant les séries minatoires. On ne pourra pas lui reprocher d’être inconstant puisque l’équipe est presque la même qu’à ce moment.
Il est vrai que les ressemblances sont frappantes. Cette saison comme en 1993, Canadien est composé de quatre trios et trois paires de défenseurs, en plus de compter sur un gardien numéro un ainsi qu’un gardien numéro deux. Pas d’affaire de gardien 1A et 1B comme il y a quelque temps.
En plus, Jacques Demers qui dirigeait Canadien à l’époque porte le même prénom que Jacques Martin qui le dirige en ce moment (ainsi que la même bedaine). Sérieusement, on ne voit qu’une seule différence qui pourrait faire que Canadien ne gagne pas la coupe cette saison : l’absence de Gilbert Dionne. Mais bon, Ryan White devrait compenser aisément…
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Des fois, on se dit que ce serait bien que Jacques Martin soit comme ça.