Gabriel : Monsieur Martin, je vais vous tutoyer ok?
Jacques : C’est bien ça.
Gabriel : Heille Jacques, avez-vous eu du fun à coacher le Canadien?
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Gabriel : Monsieur Martin, je vais vous tutoyer ok?
Jacques : C’est bien ça.
Gabriel : Heille Jacques, avez-vous eu du fun à coacher le Canadien?
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Y va pas pire Michel. Pas pire.
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Certains ont trouvé que Scott Gomez exagérait lorsqu’il a déclaré que Carey Price est le « meilleur gardien de but au monde ». La prestation du petit Jésus d’Anahim Lake lors du dernier match a sans doute cloué le bec à ces analystes de mauvaise foi.
Mais Price n’est pas le seul à avoir excellé dans son domaine. Contre le Boston, le jeune Weber a été le meilleur jeune Weber au monde (si on exclue Shea Weber). Sopel a été le meilleur défenseur pouilleux à patiner pas vite au monde, et Scott Gomez a été le meilleur joueur de centre à trouver que Carey Price est le meilleur gardien au monde, au monde (vous suivez ?).
Bref, Canadien est la meilleure équipe au monde. Ce constat pourrait toutefois nuire à la Flanalette. En effet, lorsqu’on sait plusieurs semaines à l’avance que la Coupe, c’est dans la poche, il devient plus difficile de se motiver. Ça nous arrive tout le temps, au Sportnographe.
C’est pourquoi Jacques Martin devra user d’imagination pour que ses joueurs aient au moins un peu de plaisir à disputer les matchs qui restent. Diffuser des films comiques pendant les entractes, ajouter du gin dans le Gatorade et organiser un concours de flatulences enflammées sont toutes de bonnes solutions pour divertir des joueurs qui l’ont trop facile. Mais ce choix d’une solution se fera à la discrétion de l’entraîneur. On lui fait confiance.
Euh, y’a aucun doute qui faut améliorer certains aspects, un, c’est une présence au filet, disons, pour empêcher le gardien de buts de voir claire vision sur les lancers.
Lorsqu’on joue un match à ce temps-ci de la saison contre une équipe qui bataille pour une place en séries, y’a un élément de désespération.
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À l’orée de la date limite des échanges dans la Ligne Nationale, il convient de revenir sur nos récentes propositions, soit celle d’échanger Jacques Martin ou celle d’aller chercher un attaquant de concession de puissance.
Il faut admettre que nous étions dans le champ. À la lumière de la récente série d’une victoire de Canadien, il faut se rendre à l’évidence que Canadien est l’équipe parfaite. Il ne s’agissait que d’échanger des joueurs au sein même de la formation.
Eller est rendu une vedette internationale depuis deux matchs après avoir été muté au centre. Suffisait de l’échanger contre Scott Gomez. Sopel a permis à Hamrlik de prendre ça plus relax ce qui lui donne l’énergie nécessaire pour faire des passes savantes. Cammalleri est de retour en pleine forme ce qui a permis de flusher un jambon du premier trio. Quant à Auld, le voir aller nous permet de constater combien Canadien est bon lorsqu’il n’est pas là.
Il ne se passera rien lors de la journée des échanges, tout simplement parce que Pierre Gauthier et Jacques Martin ont une équipe de rêve entre les mains. Et si ce n’est pas le cas, nous n’aurons qu’à effacer cette chronique de nos archives et vous n’y verrez que du feu.
Il ne suffit que d’une couple de défaites pour que l’expert sportif considère que le temps est venu de trouver des solutions à la descente aux enfers de Canadien. On parle de changements de trios, de rétrogradations, de rappels et d’échanges jusqu’au jour où ça va tellement mal (disons après trois défaites) que l’on commence à se questionner au sujet du personnel d’entraîneurs.
Heureusement, il y a nous du Sportnographe pour aller au-devant de la tempête et skipper une couple d’étapes afin d’être les premiers à envisager une solution hors du commun. Jacques Martin a perdu son vestiaire ? Échangeons-le.
Évidemment, il s’agit d’un type de transaction plutôt rare. Mais rappelez-vous que Michel Bergeron avait été échangé contre un choix de première ronde qui allait devenir le prolifique Daniel Doré, avec cinq points en 17 matchs dans la LNH. Il avait même brillé avec les Roadrunners au roller-hockey, et ça, personne n’en parle.
Pourrait-on espérer obtenir un attaquant de puissance en retour de notre entraîneur de puissance ? Ce serait là une belle occasion de renforcer l’attaque sans même devoir sacrifier un bon joueur d’avenir comme Brandon Nash. Et si cet attaquant s’avérait être un flop, il aurait toujours la possibilité d’aller jouer au roller-hockey (admettons que ça existe encore).
Il fallait y penser, et nous l’avons fait. Merci.
On a tombé de l’arrière disons, drette en début de partie…
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Hier soir contre les puissantes Caroline, Jacques Martin nous a encore une fois démontré à quel point il était un athlète hors pair. Rarement aura-t-on vu un homme maîtriser à ce point l’art de changer les trios.
Toutes ses décisions auront souri à Canadien. Que ce soit la remise en liberté de Yannick Weber ou la directive donnée à Gomez de dépasser la zone de non retour qui le forçait précédemment à ne rien faire.
Avec cette série de une victoire consécutive, Canadien est de retour dans le peloton de tête des équipes qui ne sont pas au huitième rang de la division.
À n’en pas douter, ceux qui réclamaient le départ du pilote de l’équipe devront retourner faire leurs devoirs. Par la bouche de ses canons, ce dernier a répondu qu’il lui restait encore de bonnes années de hockey dans les oreilles. Chapeau Jacques Martin.
Il faut se rendre à l’évidence, Canadien n’est plus l’ombre de lui-même depuis qu’il n’est plus bon. Pacioretty n’est plus l’attaquant dominant de son premier match, Plekanec a perdu sa touche magique et Carey Price fait penser à Alex Auld. En fait, seul Travis Moen est constant, ce qui n’est pas nécessairement une bonne chose.
Jacques Martin a bien essayé de secouer ses troupes en retranchant le prolifique Tom Pyatt, et plus récemment, le bien coiffé Kostitsyn. Résultat : pas de résultat. Les changements apportés par l’entraineur n’ont rien donné.
C’est pourquoi nous croyons au Sportnographe qu’il est temps pour Pierre Gauthier de congédier Jacques Martin afin d’amener un vent de changement au sein de cette équipe moribonde. Il s’agirait d’une bonne occasion de donner sa chance au jeune Guy Boucher, l’architecte du nouveau hockey réinventé. Quoi ? Guy Boucher n’est plus dans l’organisation ? Zut.
Pas grave, prenons n’importe quel jambon. Scott Gomez tiens ! Ne serait-ce pas une belle occasion de faire une pierre deux coups et de se débarrasser du Gomez et de son salaire en le confinant au remplissage de gatorade ? Oh oui.