Une solution pour marquer plus de buts : « vouloir » marquer plus de buts

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Les amateurs de hockey aiment voir des buts se marquer. C’est d’ailleurs pourquoi ils crient fort et tapent des mains lorsque leur équipe compte. Même qu’à l’occasion, ils en échappent leur bière par terre. Il n’est donc pas étonnant que les directeurs généraux de la « Ligne » nationale qui se réuniront demain à Toronto cherchent des solutions pour qu’il se marque plus de buts. Les fans échapperont donc leur bière plus souvent, ce qui renflouera leurs coffres. C’est ce qu’on appelle la loi de l’offre de buts et de la demande de bière.

Il existe plusieurs façons d’augmenter le nombre de buts comptés. On peut agrandir les filets (comme au bandy), réduire l’équipement des gardiens, ou encore laisser P.K. Subban sur la patinoire pendant tout le match. Toutefois, Peter Budaj propose une solution pas mal osée pour marquer plus de buts :

« Si les victoires en temps réglementaire valaient davantage, les équipes se forceraient plus pour marquer des buts. Disons trois points pour une victoire à la régulière et deux pour une victoire en prolongation. Cela ouvrirait assurément le jeu. »

Ainsi donc, pour marquer plus de buts, il suffirait de vouloir le faire. Aussi simple que ça. Dans la nouvelle nouvelle « Ligne » nationale, la victoire n’est plus une motivation suffisante pour arrêter de se pogner le derrière. Il faut que cette victoire soit payante, sinon les joueurs se diront simplement « bah, c’est juste un match de deux points » et se contenteront de domper la rondelle dans le fond de la zone en attendant que le temps passe.

L’idée de Budaj est excellente, mais peut-être ne va-t-il pas assez loin. Pourquoi ne pas donner 3000 points pour une victoire à la régulière et 2000 pour une victoire en prolongation? Les buts et la bière couleraient à flot…

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