Ce qui est fâchant avec la discipline de l’Histoire, c’est qu’il y a toujours un universitaire frappé pour faire remonter à la nuit des temps plein d’affaires avant Canadien. Heureusement, ce qui est plaisant avec l’été, c’est la possibilité qu’on a d’avoir ben du temps pour faire plein d’affaires le fun. Comme l’amour sur la plage en groupe. Ou du révisionnisme historique.
Lire la suite sur le site du Journal Métro.