Et si le genou de Markov pouvait parler

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Photo : CP Graham Hughes

Le Sportnographe tient rarement sa langue dans sa poche. Entre autre parce qu’il y a plein de mousse dans le fond mais aussi parce qu’il oublie souvent de vieux trombones qui se déplient et ça peut être dangereux.

Cependant, l’affaire Markov, faisant référence au fait que le genou du Russe est du type à pas être assez solide pour faire des « affaires », nous a plongé dans un marasme digne du Moyen Âge sous Charlemagne et sa maudite école qui tue nos enfants.

Et pourquoi se retenir quand vient le temps de parler de Markov? Parce que Canadien sans Markov, c’est comme une pomme pas coeur : c’est louche en maudit.

Plus aucune équipe de la Nationale va nous prendre au sérieux.

Plus aucun défenseur adverse ne se sentira en danger d’une passe transversale surprise lors d’un avantage numérique.

Plus aucun partisan ne croira à la Coupe Stanley.

Ce qui nous pousse à essayer de pas y penser et à se croiser les doigts que Spacek devienne ce défenseur étoile que nous espérons tous qu’il devienne.

Mais en même temps, les miracles à Montréal, ça vient juste du Frère André. Pis yé mort.