Il faut inviter Carey Price à Saint-Tite

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C’est la nouvelle de l’heure dans le monde du sport, et on ne parle pas ici de la blessure à un quart-arrière d’une sous-ligue de football : Carey Price est très bon à manier le lasso. On le savait très bon dans plein d’affaires, comme arrêter des rondelles dans les pratiques, mais son don pour l’attrapage de veau en fuite nous était méconnu.

Évidemment, cette nouvelle ouvre de nombreuses portes pour l’avenir. Certains diront qu’il s’agit là d’une belle occasion pour lui d’exécuter immédiatement son plan d’après-carrière dans le monde du rodéo en laissant sa place à un gardien plus jeune et prometteur comme Alex Auld ou Curtis Sanford.

Mais nous du Sportnographe croyons encore que Carey (un pur-sang comme dirait l’autre) puisse devenir le gardien qu’on a toujours cru qu’il serait peut-être un jour sans être vraiment sûrs. C’est pourquoi nous estimons que Canadien et sa machine de communication devraient profiter du talent du cowboy pour faire mousser sa cote d’amour auprès des partisans déçus du départ de Jaroslav Halak.

Pourquoi ne pas faire participer Price au Festival western de St-Tite ? C’est bien d’attraper des brebis en Colombie-Britannique, mais qu’en est-il des brebis de chez nous ? Imaginez Price à St-Tite, arrivant au galop sur un étalon noir, attrapant un agneau en furie, le vissant au plancher, lui attachant les sabots et levant son chapeau au ciel en guise de victoire ? Quelle belle image pour le Journal de Montréal et pour le partisan en quête de héros.

Voilà une chose que Jaroslav Halak n’est pas capable de faire…