Le Sportnographe au Tour de France

Photo : (AP Photo/Peter Dejong)
Photo : (AP Photo/Peter Dejong)

Ici, au Sportnographe, on n’est pas du genre a prendre ça relax dans vie. Par exemple, lorsque Paul Meilleur-Aucoin a eu une ablation des ovaires en mars dernier, il a pris deux heures de congé. Qu’on lui a facturé.

De fait, où suis-je se demande la plupart de mes fans? Eh bien non je ne suis pas en vacances comme certains pourraient le croire bien au contraire. Je suis dans les France en plein pendant le Tour de.

Pourquoi? Certainement pas pour composer des articles relax dans un camping à Molines en Queyras à 2000 mètres d’altitude. Non. L’objectif est clair : faire des tests pour voir si vraiment c’est pas facile de monter des montagnes en vélo.

Fait que quoi? Bin fait qu’à date c’est pas évident pantoute. Probablement du fait que je n’ai pas encore commencé mon traitement d’EPO. Et aussi parce que c’est juste pas évident tout court.

Par exemple, monter le Mont Ventoux, c’est pas facile parce que c’est venteux. Qui l’eut cru?

Cela dit, en attendant que mon expérience soit complétée, le Sportnographe s’attend à ce que je couvre le Tour de France, d’autant que je suis en France et que c’est le Tour. Des adons comme ça, ça s’invente pas.

Alors?

Bin alors trois victoires françaises, une guerre entre Armstrong et Contador, des adversaires tellement loin que si ça tente à quelqu’un de s’embarquer dans le Tour demain il a autant de chance que le gagnant de l’an dernier, Sastre, à plus de 3 minutes de Contador.

En attendant, j’espère qu’il fait beau au Québec parce qu’ici, bin y fait beau. J’ai même vu un cerf gambader à 2400 mètres d’altitude. Y doivent être en forme en tabarouette.