Éthique, homosexualité, et hockey sur glace

Vous le savez, au Sportnographe, on ne s’intéresse pas qu’au hockey. Par exemple, Meilleur-Aucoin cuisine à merveille la rôtie au beurre de pinottes, et Munger est un passionné de météo. Il possède même un favori dans son navigateur Web dernière génération vers le site de Météo Média.

Sauf qu’on s’intéresse aussi un peu à la politique, et le débat autour du nouveau couple formé par Nathalie Normandeau (PLQ) et François Bonnardel (ADQ) a soulevé dans notre nous-même des questions qui peuvent s’appliquer à toutes les sauces, et particulièrement au hockey sur glace.

En effet, avez-vous-tu déjà imaginé une situation (impossible parce qu’on le sait, il n’y a aucun homosexuel dans la Ligne) où deux adversaires tomberaient amoureux au milieu d’une mise au jeu, ou après un plaquage particulièrement érotique ?

On imagine bien sûr la controverse (ou contre-verse comme la plupart des gens disent), mais on se dit aussi que ça expliquerait bien des passes presque pas d’allure à l’adversaire, ou encore certains refus d’aller dans les coins afin de plaquer l’être cher.

Dans tous les cas, on espère que Robert Gainey ne serait pas aussi lousse en matière d’éthique que Jean-John Charest, et qu’il échangerait un joueur pris en flagrant délit de minouchage sur le banc des punitions contre un jambon viril, subito prestone. Eille, le hockey, c’est pas comme l’Assemblée Nationale, c’est du sérieux.

Catégories:

Contenu similaire