Ma capacité de synthèse est souvent telle que mes titres d’articles s’avèrent suffisants pour saisir la nature de la vérité que je cherche à diffuser. Mais, comme je suis rémunéré au nombre de mots, faut remplir.

Alors, oui, si vous voulez savoir, Canadien ne va pas bien, à un tel point que je suis convaincu que bientôt, une émission de sport quelconque invitera André Racicot afin de lui poser des questions, genre : en tant qu’ancien gardien de Canadien qui laissait toute passer à travers son corps, comment peut bien se sentir Price à votre avis ces temps-ci ?

Et si jamais Racicot était occupé à gérer sa succursale Tim Hortons (mettons), on pourrait toujours se rabattre sur Pat Jablonski, Frédéric Chabot, Jean-Claude Bergeron, Les Kuntar et même Richard Sévigny, pourquoi pas. Sauf que lui a déjà goalé aussi pour Nordiques.

En toute honnêteté, si j’étais une femme, je pleurerais devant une telle descente aux enfers du mal de la part de Canadien. Mais l’homme que je suis/quoiqu’il en pense/n’a pas accès/ni de près ni de loin à cet outil du deuxième sexe. Non. Je me permets cependant de frapper dans le mur du salon à grands coups de poing et de botter le chien.

Rex, je t’aime pareil, t’sé.

On reconnecte un moment donné.