Il est temps de rapatrier Jan Bulis

On se souvient tous d’une époque où Jan Bulis faisait les choux gras du Sportnographe et des baies vitrées du centre Bell. L’an dernier, Bulis a particulièrement mal fait avec le Canucks, connaissant quelque chose comme sa pire saison en carrière si l’on exclut sa saison recrue pee-wee avec le Czktzlsk Pardibuce.

Le voilà donc disponible sur le marché des joueurs autonomes, avec_personne qui ne veut de lui, le pauvre. Il aurait toutefois tort de s’inquiéter. Jan, que nous n’avons jamais ici surnommé le « pit-bulis » même si on aurait dû, devrait savoir qu’il reste toujours une place pour les joueurs finis. Cette place, c’est chez Canadien, le paradis du joueur d’inconcession.

Il faut aussi dire que depuis la disparition des lancers frappés aléatoires du Bulis, les baies vitrées de Montréal sont insuffisamment éprouvées et risquent de ne pas survivre aux attaques de tous les autres clubs de la Ligne Nationale qui se sont améliorés cet été.

Le retour de Bulis permettrait à Steve Jr Tremblay-Tremblay de finir son roman historique sur la vie de Bulis dont le titre de travail est « À la recherche du Jan perdu », mais contribuerait aussi certainement à faire produire Kostopoulos sur le quatrième trio. Il est temps de rapatrier Jan Bulis.

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