Quand Canadien n’est plus là, il reste Canadien

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Photo : AP Photo/Gene Puskar

Nous qui oeuvrons dans le milieu de Canadien entendons souvent par les temps qui courent des gens qui se lamentent, qui gémissent, qui s’écrapoutent par terre en raison de la pénurie de choses à faire quand Canadien n’est pas là.

Pourtant, Canadien est toujours là par l’entremise de ses ambassadeurs. On les retrouve partout en séries minatoires. Guy Boucher, Claude Julien et Alain Vigneault ont tous parfait leur apprentissage du hockey, de la vie et des bouchons sur l’autoroute 40 avec Canadien.

Et que dire des Maxim Lapierre, Chris Higgins, Dominic Moore et Marc-André Bergeron qui sont devenus les meilleurs jambons de la « ligne » à force d’être plus ou moins bon à Montréal ? Ne sont-ils pas aussi excitants à suivre que si Canadien était en demi-finale ?

Certains diront : « ça pas rapport, c’est juste une stratégie pour parler de Canadien parce qu’y’a rien d’autre d’intéressant sur terre pis vous savez plus quoi écrire », ce à quoi nous répondrons : « eille, restez poli monsieur, pis en passant, votre fermeture éclair est dézippée ».