Pierre Trudel accuse Sundin de ne rien dire

Le rapport de stage de Pierre Trudel a atterri cette semaine sur le bureau du Baron et la conclusion se tire d’elle-même : tapé à la dactylo avec du Liquid Paper séché en motttons par-dessus ses fautes, Trudel avec un T ne maîtrise pas la technologie des ordinateurs et des internets. Heureusement pour nous, il en est autrement de sa connaissance de Canadien, dont il sait merveilleusement bien “parler de” même en mal, été comme automne et hiver comme printemps. À partir de maintenant, donc, il intègre officiellement la grande famille de Sportnographe, du moins, jusqu’à temps que nous nous décidions d’engager, pour le remplacer, son meilleur ami, Michel Villeneuve et son coeur tatoué du Nordiques.

Tout ce long préambule pour vous dire qu’au menu de ce “Trente fréquences seconde”, on trouve un paquet d’affaires, exactement comme dans le Journal de Montréal, mais en plusse bon et les annonces classées de même que la chronique de Richard Martineau en moins.

Par ailleurs, vous le savez, Pierre Trudel aurait pu être attaché politique, député backbencher, sous-ministre, premier ministre même. Mais il est intègre, bien que souverainiste. Ce qui ne l’empêche pas de parler d’Obama dans cette capsule, même si on ne comprend pas pourquoi. Avec l’âge, plusieurs choses se pardonnent plus facilement, remarquez.

Plus sérieusement maintenant, sachez que c’est un honneur pour nous de compter Pierre Trudel dans nos rangs. En fait, ce n’est pas tous les jours qu’on a la chance de collaborer avec nos mentors, ces gens qui nous ont inspiré et qui continuent de le faire. Nous le remercions de collaborer à LA référence avec autant de générosité. Vraiment.

Bon, bon. Francis Reddy, sort de ce corps.

On se reconnecte plus tard.