Le Sportnographe s’exprime sur le dossier Kovalev

Dans l’empire du Sportnographe, il y a toutes sortes de monde. Des fous, des gentils, des pas fins, des niaiseux, des brillants, des ceux-là qui sentent de la bouche, des fatigants et des extrémistes.

Par contre, dans tout ce beau groupe, il n’y a pas d’alarmiste. Jamais.

C’est pourquoi, contrairement aux grands médias, on n’a pas réagi direct après l’annonce de Bob Gainey d’envoyer son gros attaquant plein de potentiel chez Cora Déjeuner prendre ça relaxe avec la famille.

Nous, du Sportnographe Illimité, nous n’avons pas été alarmés par le chapitre Kovalev. Contrairement à ceux qui se pensent bons, nous n’avons pas fait accrère que nous savions exactement ce qui se passait avec Kovy.

Nous n’avons pas inventé d’informateur russe qui travaille au IGA du Vieux-Montréal.

Nous ne nous sommes pas accablés en analysant, comme les analystes, que c’était le dernier match de Kovalev chez Montréal et n’avons pas imaginé tous les échanges potentiels et les alléchants choix de 3e ronde que l’on pourrait obtenir en retour du Russe.

Nous n’avons pas accusé le Montréal de pas aimer le talent.

Nous, on s’est simplement dits (et là je parle en tant que mon nom personnel) : Kovy, y va prendre ça relaxe deux trois matchs pis y va revenir remporter la Coupe. Aussi simple que ça.

Et là, tout à coup, après 48 heures où les experts ont pu prendre le temps de vivre, on dirait que tout n’est pas nécessairement si dramatique qu’on le pensait…

Peut-être bien que Kovalev va revenir, qui disent…

Peut-être bien que Kovalev a pris le temps de penser, de discuter avec Bob, finalement…

Peut-être bien que Kovalev, il va finir la saison avec Canadien…

Oupelaille, hein ! Oupelaille !

Qui c’est qui avait raison ?

C’est ça. Après ça, demandez-nous pas pourquoi on s’appelle LA Référence.