Ici au Sportnographe, nous avons toujours cru que la meilleure chose qui pourrait arriver au journalisme sportif d’opinion objective, est l’instauration d’un système d’alternance à trois gardiens de but. On imagine facilement qu’un tel développement pourrait augmenter de 33% (ou à peu près) le contenu exclusif de qualité à diffuser.

C’est pourquoi on ne parle pas trop de la controverse des gardiens de buts de Canadien, controverse qui dure depuis que les jambières de gardiens sont suffisamment lourdes pour justifier de partager la fatigue des cerbères pour éviter les burn-out. Nous préférons laisser tout le jus de cette discussion à ceux qui doivent écrire sur la chose pour nourrir leurs familles, et qui ne veulent bien sûr pas aborder les mêmes exclusivités que les autres.

Nous ne nous prononcerons donc pas sur notre choix d’octroyer à Carey Price (que vous hésitez à rebaptiser Jesus Price, Jim Carey, ou Ti-Prout) le titre de « gardien numéro et spécialiste des tirs de fusillade une fois sur deux ». N’essayez pas de nous convaincre, on ne veut pas se mêler de tout ça.

De toute façon, il ne reste que 32 jours avant que cette date communément appelée « 23 décembre » ne surgisse de sa tanière pour briser tout le beau travail de Grabovski, Kostopoulos et Smolinski. Quoique la Merveille de l’Ohio semble déjà commencer à subir les effets du 23 décembre. Ce doit être le décalage horaire…