Devrait-on souffrir de la perte de Perez-Hogin ?

Comme il ne se passe pas loin de rien pantoute dans le merveilleux univers de Canadien, Alejandro Perez-Hogin, dont le nom de famille évoque clairement un fils d’immigré mexicano-américano-frontalier, a décidé de mettre du piquant Jalapenô, comme ses ancêtres aimaient si souvent le faire, dans nos tapas quotidiens.

C’est donc dans une indifférence notoire qu’Alexandre le Grand a décidé de réorienter sa carrière dans un métier beaucoup plus payant que celui de scoreur de 6 buts chez Canadien ; scoreur de six buts chez Salavat Yulaev. Augmentation ? 1,1 millions de dollars americano de plus dans sa poche annuellement. Augmentation justifiée bien évidemment.

Dans l’analyse post-saison que Le Baron nous a concoctée et que nous n’avons pas pu publier en raison de la fréquence trop élevée de l’utilisation de la langue du petit Jésus, « Perezhogin », comme il l’appelle, ne bénéficiait d’aucun point positif, si ce n’est celui d’être le seul Mexicain dans la Ligne NH.

Évidemment, six buts de moins par saison, c’est nécessairement une lourde perte pour Canadien. Toutefois, toujours selon l’analyse de Monsieur Baron, six de perdus, 60 de retrouvés.

En conclusion, cette décision est une excellente nouvelle pour Canadien, qui toutefois devra chercher d’autres moyens pour faire son sale boulot de 4ième trio que la force de travail latino-américaine.