Comme une odeur de Coupe Stanley

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Photo : Mark L. Johnson

Pas plus tard que ce matin, j’étais pris à contempler l’incroyable alignement de mon pool en me susurrant à l’oreille à quel point j’avais fait de bons choix, alors que l’idée de la Coupe Stanley me vint en tête.

Tout un club + Coupe Stanley = Canadien.

Voilà le calcul rapide que je calculasse dans mon subconscient. Et comme disait Freud : si ton subconscient est bon en maths, profites-en.

Cela étant fait, j’analyssasse les possibilités qu’un tel raisonnement de mon subconscient fusse probable dans l’optique d’une saison de la LNH et, après une longue sieste dans mon sous-sol, je peux vous dire ceci : ça sent la coupe.

Quels sont les données prises en compte dans mon calcul?

Évidemment, un bon scientifique ne révèle pas ses secrets afin qu’il ne soit pas contesté. Mais comme j’ai le coeur grand comme une panne à frire, laissez-moi vous guider.

Prenons en compte l’alignement de Canadien. On parle d’une vingtaine de joueurs environ. Ball-park figure, on va dire 21. Prenons le nombre de match disputé en avril plus ou moins 3 ou 4. Disons 3. Et prenons maintenant sur une échelle de 1 à 10 le sentiment des partisans alors que 1 veut dire qu’on souhaite que Canadien gagne la coupe et que 10, Canadien ne gagne pas la Coupe.

21 + 3 + 1 = 25.

Comme dans?

C’est cela.