Vincent Lecavalier dans un garage

Vous entendez parler de plus en plus de Vincent Lecavalier, n’est-ce pas ? On l’aperçoit à Montréal, dans les différents restos qui se pensent bons, dans les concessionnaires automobiles Chrysler. Incroyable. Surtout dans le sens de « voir un gars avec de l’argent dans un concessionnaire Chrysler ». C’est tellement rare.

Plus encore, vous lisez des articles complets sur les propos de Vincent Lecavalier : « Je n’en sais pas plus », « je serai fixé le premier juillet, j’imagine », « je n’ai pas de nouvelles informations à ce sujet », « tasse-toi Renaud tu commences à m’énarver avec tes questions plates. »

Et vous vous prenez à rêver.

Et bien sachez que plusieurs jeunes fillettes aux dents embrochées ont le même sentiment que vous : « Lecavalier à Montréal ! Enweille donc ! »

J’étais, en tant que personne, sur place lors d’une séance de signature du beau Vincent lundi dernier et laissez-moi vous dire une chose : avec le nombre de personnes en file devant un concessionnaire sur le boulevard des Sources en plein lundi après-midi, si le beau Vincent se fait échanger à Montréal un jour, il aura pas le temps de jouer du hockey tellement il va se faire déranger.

Fait qu’essayons plutôt de viser un p’tit laid russe qui joue aussi bien.

Des suggestions ?