Une autre année avec le vidangeur de Bonavista

Montréal (Canadien de son prénom), vient d’apposer une paraphe à un contrat de 2.2 millions de beaux dollars avec Michael Ryder, l’as enfileur de rondelles qui traînent, et par le malheureux même fait, l’as buteur de Canadien, toutes catégories de façons de marquer confondues.

Évidemment, certains pourraient se plaindre, comme le fait Réal Munger du haut de son poste d’observation sis dans le placard du bureau de Robert Gainey « qu’on exagère pas un peu avec 2.2 millions pour Grinder ? », et il serait assez facile de lui/leur donner raison.

Or ici au Sportnographe, on ne donne presque pas tout le temps dans la facilité. Il faut remettre les pendules à l’heure plus tard dans les maritimes et souligner l’incontestable fait que Ryder, que certains se plaisent déjà à surnommer « le vidangeur de Bonavista », a terminé troisième pointeur de la flanalette, pas trop loin derrière ceuzes qui font vraiment la piastre.

Néanmoins, on peut se réjouir que Canadien se soit entendu avec tout le monde et que Guy Carbonneau – que plusieurs membres du Forum Petsi rêvent de voir enfiler le patin à titre de joueur-entraîneur [1] – peut d’ores et déjà commencer à souder cet esprit d’équipe, unie par la fierté que ses joueurs portent à leur pays… ou plutôt à leur ville… ou plutôt à l’histoire du tricolore… enfin, assurément à leurs statistiques.

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