Tom Kostopoulos : bilan d’une Merveille

Photo : (AP Photo/Charles Krupa)
Photo : (AP Photo/Charles Krupa)

Il nous arrive, au Sportnographe, d’exagérer sur certains des attributs de vos joueurs préférés. Par exemple, il nous semble avoir déjà dit que Carey Price était un peu comme Jésus, alors que finalement, il est plutôt comme André Racicot. Mais s’il y a un cas où nous n’avons pas péché par l’excès : Tom Kostopoulos. En effet, d’aucuns ne pourront affirmer que son surnom de « Merveille grecque  » ne lui allait pas comme un gant.

C’est pourquoi son départ nous attriste au plus haut point. On n’a que faire du fait que son remplaçant, Travis Moen, est plus gros, plus fort, meilleur buteur, et meilleur bagarreur. Au fil des ans, nous avons développé un sentiment d’appartenance intense en regard de Kostopolis, comme dirait Jacques.

Il nous en a fait vivre des émotions, le Tom. On n’a qu’à se rappeler le moment où Canadien l’a embauché il y a deux ans. Nous étions très enthousiaste. Ou encore, le jour où Huet a dû réparer ses erreurs du passé et aller le délivrer de prison après qu’il se soit fait prendre la main dans la sacoche. Surtout, on se souviendra de la fois où il a compté un but.

Tom, tu resteras toujours dans nos coeurs, et bonne chance avec Sergei Samsonov.