Ben souvent on parle pour absolument rien des choses, mais ça fait partie du sujet.
Rodger Brulotte
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Un moment donné, dans le monde du sport, je veux pas vous faire de la peine, mais moi avant je faisais le baseball et ça a changé un peu depuis ce temps-là. Attendez mon téléphone sonne, je vais le fermer. S’cusez.
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Je me pose la question : Pourquoi qu’on s’est vidé ?
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Martin Lemay : Steve Molitor, par contre, y va se battre pis y est promoté pour euh… Promoté ? Rodger Brulotte : On revient après la pause. On vous revient après avoir promoté la pause.
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Rodger Brulotte : Jusqu’au 15 novembre 1976, chaque lettre écrite par les Expos aux employés, les directives étaient toujours en anglais (…). Martin Lemay : Moé, tous les lettres que je reçois au boulot sont en bilingue.
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Martin, un jour, je te le souhaite pas, mais un jour tu vas comprendre.
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T’as pas vu Menick, toi, juste en petite short pas de chandail ? Aïe aïe aïe.
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J’ai été décu, s’cusez si je m’en va hors texte là, mais c’est mes habitudes, ça arrive souvent ça… C’est pour ça j’ai de la misère.
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On s’est fouté d’eux autres comme des petits poissons pourris pis on a jeté ça à l’eau.
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Signons le pour un an, payons le pour ce qui valent et on verra après.