Comme par hasard, le mercredi midi, je mange avec Bob Hartley, je reçois un texto. Mr Tretiak serait intéressé à vous rencontrer lundi à midi, au bureau de la Fédération russe de hockey. Et là seriez vous intéressé? Ben...
T’as pas accès aux joueurs, t’as un environnement complètement… je dirais c’est quasiment plus purifié qu’une zone de filtration des eaux à Montréal. C’est absolument infecte, imbuvable.
Le même monde qui signe un pacte vont voter pour les olympiques contre Calgary, pis c’est le même monde qui vont dire, crevez l’Alberta avec votre pétrole qui pollue. Fait que tu fais quoi? Tsé, y’a rien de simple.
– Et là mettons que tu demandes, je voudrais lui poser des questions, y’a déjà eu le temps de se mettre du désodorisant en dessous des testicules quand y revient. – Des testicules? – Non mais ce que je...
Off the record, tu l’écris pas. Il m’a pas dit de pas en parler à la radio. Pis une fois que t’en a parlé à la radio, ça devient public, tu peux l’écrire. C’est drôle, la conscience est élastique dans le journalisme.