La boutique de Canadien est très à jour. Vous pouvez même commander un chandail de Pierre Dagenais ou de Richard Zednik.
Merci à Stéphane Gauthier pour le lien.
La boutique de Canadien est très à jour. Vous pouvez même commander un chandail de Pierre Dagenais ou de Richard Zednik.
Merci à Stéphane Gauthier pour le lien.
Notre dernier sondage pancanadien (le pays, pas l’équipe) est clair: ce dont vous vous ennuyez le plus au Sportnographe, c’est de Pierre Dagenais. L’ancienne étoile de Canadien pendant une demi-saison a en effet fait les beaux jours de ce site et nous sommes bien d’accord qu’il faudrait lui rendre hommage plus souvent.
Selon notre recherchiste (Google), Pierre aurait obtenu pour la saison 2011-2012 pas moins de 143 points en 45 matchs avec les Warriors d’Akwasasne dans la Federal Hockey League, une ligue qu’on sait pas c’est quoi. Reste que ça fait du point en titi ça. Dans votre face, ceux qui disaient que Dagenais était fini. Si Marc Bergevin était le moindrement proactif, il donnerait une chance à Dagenais au prochain camp d’entraînement.
Il semble qu’en janvier dernier, Dagenais a été échangé contre un choix de 3e ronde par le HC Caverna de Sorel aux 3L de Rivière-du-Loup dans la LNAH. Par contre, il n’a joué aucun match avec aucune de ces équipes, ce qui lui fait une très bonne moyenne au chapitre des plus et des moins.
D’autre part, selon l’Écho de la Rive-Nord, Dagenais serait sur le point de réaliser son rêve d’avoir des minientrepôts dans un projet de condos qu’il développe à Mirabel avec un de ses chums. Un projet qui s’appelle d’ailleurs le iCondo, ce qui démontre une autre fois que le troisième amigos est un visionnaire. Apple doit être en beau fusil de s’être fait damer le pion sur ce coup-ci.
Enfin, selon nos sources sur Facebook, Dagenais sera l’invité d’honneur du tournoi de golf pour la Maison des jeunes de Blainville le 29 août prochain et on espère que la police sera prête à intervenir en cas d’émeutes…
Les Internets sont remplies de surprises. Parlez-en aux diplomates américains qui viennent de découvrir que ça existe.
Nous mêmes au Sportnographe, qui sommes très Internet dans le domaine, nous nous sommes surpris à découvrir par hasard la très crédible Clique, émission de télévision mais qui ne passe pas à la télévision, sur les Internets de Radio-Canada.
Et quelle surprise nous vint à l’oreille en entendant les propos d’un Dany Dubé très 2.0 sur le cas P.K. Subban.
Il appert, selon toute vraisemblance, que P.K. n’agit pas de la bonne façon dans le vestiaire. Ou, comme on dit en anglais, the wrong way in the vestiaire.
Tellement que les vétérans s’en sont allés chigner au coach qui a décidé de sévir.
À la lumière de cette information, le Sportnographe, en tant que grand frère du milieu sportif (on a débuté notre épopée sur les Internet alors que c’était Théodore le gardien, c’est dire) aimerait conseiller à Subban de la prendre relaxe.
Car le partisan moyen de Canadien n’aimerait pas voir et revoir les cas Théo/Ribeiro/Dagenais/Sergei/etc… dans sa soupe en pensant au 76.
Oui, P.K., si on avait un conseil à te donner, c’est d’agir de la bonne façon. Ou, comme on dit en anglais, the right way.
Nous du Sportnographe avions déjà avoué notre penchant pour Sergeï Kostitsyn en prétextant que sa présence permettait de détourner les projecteurs des autres caves de l’équipe. Le voilà parti, et toute la pression ira sur Carey Price qui agira à la fois à titre de gardien numéro un, et de douchebag numéro un, un double-titre qui pourrait nuire à ses performances dans les bars de danseuses (et sur la glace, accessoirement).
Mais il y a une autre raison qui fait que l’échange de Kostitsyn constitue l’erreur du siècle pour Canadien : c’est que Sergeï a presque été la trouvaille du siècle il y a quelques années. Repêché en 354e ronde, le jeune avait promis de belles promesses dans le junior avec Patrick Kane et Sam Gagner, en marquant cinquante-douze-mille buts.
Est-ce à dire que le plus jeune des Kostitsyn pourrait exploser à Nashville en compagnie des supervedettes de la place comme Patric Hornqvist ? C’est sûr que oui. Tous les facteurs seront de son côté, puisqu’on sait qu’à Nashville, y’a pas grand choses à faire pour un biélorusse élevé en partie à Tchernobyl et en partie sur la rue Crescent. À moins qu’il ne se mette à faire du cheval en boisson, on voit mal comment Sergeï K. ne marquera pas 37 buts la saison prochaine.
Il en est pour dire que l’échange pourrait aussi avoir un impact sur le frère Andreï, mais on vous rassure, il en faudrait plus que ça pour l’affecter. On ne serait pas surpris qu’Andreï ne se rende même pas compte que son frère ait été échangé, comme il lui arrive parfois de ne pas réaliser qu’il est en possession de la rondelle.
Sergeï Kostitsyn était une inspiration pour tout les humoristes-parodistes-sportifs de ce monde. Mais si on a survécu au départ de Pierre Dagenais, on peut survivre à tout.
Il y a de ces choses que l’on perd et que l’on regrette tout sa vie. Nous au Sportnographe, on avait une belle affiche de Robert Pattinson (le gars dans Twilight), autographiée par Marcel Leboeuf, et un jour, nous sommes arrivés au bureau, et le concierge l’avait piquée.
C’est un peu la même chose avec Pierre Dagenais. Il était bon pour Canadien, mais il était aussi en quelque sorte notre muse. C’est pourquoi chaque fois que le ptit Jésus (comme il dirait) nous apporte des nouvelles de lui, on en parle.
Et bien il s’avère que le beau Pierre aurait été « spotté » dans le coin de l’Amérique du Nord en compagnie d’une voiture énergivore de luxe et d’une tinque à gaz. Est-il de par chez nous pour un tournoi de poker ou pour négocier un contrat de huit ans à 2,4 millions par année avec Canadien ? Ça, personne le sait, et c’est ce qui nous permet de dire n’importe quoi. C’est comme ça qu’on fait de la bonne radio.
Avec ses 20 points en 54 matchs chez le Traktor de Chelyabinsk (prononcez Chelyabinsk), cet excellent frappeur désigné pourrait avantageusement remplacer Tomas Plekanec au sein du premier trio de Canadien. En plus, n’a-t-il pas un petit air de famille avec Andreï Kostitsyn ? Dagenais à Montréal, c’est pas mal sûr que peut-être que oui.
Note : la rubrique « ballotage » fera relâche pour l’été.
Il est vrai qu’il s’en passe des affaires dans le monde du sport. Et nous ne passerons pas par quatre chemins, il s’en passe même quand Canadien est pas là. Parce qu’une chose est certaine, Canadien est pas là depuis tellement longtemps que la dernière fois qu’il a joué une partie, il était encore impossible de critiquer un arbitre dans la Nationale. C’est bin pour dire.
Cela dit, il s’en est passé des affaires pendant que Canadien ne jouait pas et des affaires pas fines fines. Le petit Bon Dieu, probablement trop occupé à aider Pierre Dagenais avec sa full à l’as sur une table de poker de Moscou, a oublié d’être gentil avec nos amis d’Haïti.
Vrai, toute cette horrible histoire ne concerne pas le hockey, ni Canadien. On comprend votre désarroi. « Heille, y jouzent pas au hockey dans ce pays là messemble? » Mais les amis et amies, il faut parfois, oui parfois, sortir des sentiers battus et parler de d’autres choses que Canadien. Même si ça déstabilise son homme.
Et cette situation est l’exemple même du « y’a pas juste Canadien dans vie. » Même si c’est difficile à croire.
Alors lecteurs et lectrices du Sportnographe, pensez-donc à Haïti pendant une partie de votre journée hein.
Et n’oubliez pas que Canadien joue ce soir. D’ailleurs, notre petit doigt nous dit qu’ils vont en gagner une pour réveiller le petit Bon Dieu.
C’est pas parce qu’on est petit qu’on peut pas être grand. Et ça, c’est vrai.
Parce qu’après avoir discuté avec notre ami Pierre Durocher concernant Canadien et ses joueurs autonomes qui reviendront jamais plus jamais dans Canadien, on a commencé à tellement stresser fort que nous nous sommes dit : « niaisons pas avec le puck et commençons nos démarches nous-mêmes, ça sera plus efficace ».
C’est pourquoi Sportnographe a décidé de vendre quelques actifs, principalement des seaux de teinture à cheveux de Marc de Foy, afin de me dépêcher personnellement dans l’hexagone à la recherche d’anciens joueurs du Montréal afin de les convaincre de reviendre dans le giron du blanc et bleu pis du rouge aussi.
Fectivement, il est de souche certaine que les joueurs passent leur week-end dans les places le fun. Et Paris, c’est une place le fun. Et quand on s’appelle Pierre Dagenais ou Oleg Petrov, et que l’on joue pour des sous-ligues de province autrichienne, c’est le fun en torpinouche Paris.
Je suis donc en ce moment ici même à la recherche de ces deux joueurs pas mal talentueux et depuis quelques heures, dans la grande ville de la lumière, on sent la mobilisation.
Je serai de retour dans la métropole litaine dès demain pour m’assurer qu’on n’a pas perdu d’autres joueurs et je repartirai dans les vieux pays afin de continuer ma conquête. Le retour de Peter Stastny est encore possible, amateurs, ne désespérez pas.
Alors qu’on apprenait hier que « les Arabes » (qui visiblement forment un tout abstrait) n’étaient pas intéressés à acheter Canadien [insérez blague de sable sur la glace], voilà qu’on nous annonce aujourd’hui que le richissime Alexander Medvedev chercherait à mettre la main sur une équipe de la Ligne Nationale.
De là à dire qu’un Russe, le Medvedev en question, pourrait acheter Canadien, il n’y a qu’un pas que nous du Sportnographe qui ne sommes pas membres de la FPJQ, n’hésiterons pas à faire.
Imaginez une seconde un propriétaire russe au volant d’un club de Russes mus par le désir de prouver à la face du monde que ce n’est pas parce qu’on ne passe pas l’été à Valleyfield qu’on n’est pas capable de donner son 110%.
Mais ce que vous ne savez pas parce qu’on ne vous en a pas encore parlé dans les paragraphes précédents, c’est qu’Alexander Medvedev est le président de la KHL, la Ligne Kontinentale de Russie, où évolue le flamboyant hispano-russe Alex Perezhogin.
Et si Canadien quittait la LNH pour se joindre à la KHL où la compétition est moins forte ? Elle deviendrait subitement, à n’en pas douter, une équipe du tonnerre qui ne ferait qu’une bouchée du Traktor de Pierre Dagenais. Ça sent la Coupe Gagarine !
Il fut une époque où tout souriait au Sportnographe. D’accord, seules 36 personnes visitaient le site quotidiennement, et le Baron n’avait aucun ami Facebook, mais nous sortions d’un creux historique causé par le lock-out dans la Ligne Nationale, et pouvions compter sur les trois amigos pour faire nos choux gras et notre jambon à l’ananas.
Puis un jour, Pierre Dagenais se chicana avec le p’tit Jésus et perdit son poste de spécialiste de la fusillade. Peu après, José Théodore tombait dans ses marches parce qu’il n’avait pas mis de garnottes sur le dos d’icelles, et alla se fourrer le nez dans « l’enfer du mal » (ainsi qu’à d’autres endroits moins fréquentables). Puis le dernier amigo, Michel Mike Ribeiro était échangé contre un Jambon catégorie ’A’ parce qu’on n’aimait plus ou moins sa façon de porter la calotte et le chandail dans les culottes.
Un peu plus d’un an après les faits, le Sportnographe n’a pas tenté une seconde d’aller tâter le pouls du Ribeiro à Dallas. Disons que nous essayons de ne pas tomber dans la nostalgie ou dans la drogue. Néanmoins, notre recherchiste a dégoté quelques informations dans une obscure publication montréalaise, à propos des regrets de Michou :
« C’est sûr qu’on dérangeait, Théo, Dagenais et moi. On avait notre clique. Mais les Russes avaient leur clique, les Tchèques aussi. Il y avait Souray et Rivet…Le Canadien, c’est ça. C’est des cliques. »
Ce qu’il faut retenir de tout ça, c’est que d’abord, le nombre minimum pour composer une clique est de deux personnes, et qu’ensuite, toutes les cliques de Canadien ont été échangées. De toute façon, pour être plus juste et en accord avec notre société individualiste, il faudrait dire « Canadien, c’est des Messies ». Parce que oui, il peut y avoir deux Messies, pourvu qu’ils portent un masque avec des dessins laids dessus. Canadien est en train de perdre son sens de la communauté.