Imaginez s’il devient coach de Canadien…
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Patrick Roy
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Tout film hollywoodien qui se tient sur deux pattes a son méchant que l’on peut rapidement identifier : il a un oeil de vitre, il ne croit pas en Dieu, il est arabe, ou il a une cicatrice dans la face. Personne n’est donc surpris d’apprendre que Guy Boucher du Tampa est un pas fin qui veut détruire la nouvelle ligne nationale avec son hockey réinventé de type défensif.
Oh, il y a bien quelques experts pour dire que c’est pas vrai pantoute, qu’au contraire, les équipes dirigées par Boucher dominaient en matière de buts dans le but ou de tirs vers le (même) but. Mais qui allez-vous croire ? Des experts qui n’ont jamais gardé les buts dans la Ligne Nationale, ou bien Patrick E. Roy ? Hein, hein ?
Il est maintenant clair que Boucher a guidé de son emprise machiavélique les jeunes de Canadien, nos Bulldogs à nous, qu’il les a éteints comme de l’eau de roche sur le feu. Pourquoi sinon nos Pacioretty, Weber et autres Ben Maxwell étaient si pas bons l’an passé ? Pourquoi sont-ils si libres cette saison de s’épanouir dans la région du but spectaculaire avec les mêmes Bulldogs ?
C’est la faute à Guy Boucher. Il a détruit la LHJMQ qui est devenue une ligue où la trappe coule à flot. Il a brisé les espoirs des espoirs de Canadien. Il s’attaque maintenant à la LNH. Certains diront : « c’est juste du hockey, faut pas virer fou ». Mais si le dessein de Guy était ensuite de se lancer en politique, ou pire encore, de devenir propriétaire d’une multinationale de l’armement ? Les poils de bras nous dressent déjà sur la tête.
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Ça y’est, c’est fait. Carey Price a lâché pour un instant ses bouvillons pour signer son fameux contrat avec Canadien. En entrevue téléphonique avec d’autres bouvillons, après qu’on lui eut demandé combien de matchs il était prêt à jouer la saison prochaine, le grand Jésus a répondu à la blague : 82.
Heureusement, les experts sportifs ont rectifié le tir en estimant que nous devons nous attendre à ce que Price joue environ 60 matchs au courant de la saison. On trouvait ça normal jusqu’à ce qu’on fasse le calcul suivant : 82-60=22. Est-ce à dire que le second de Price, Alex Auld, jouera 22 matchs cette saison ?!
Peut-on faire confiance à un gars qui nous donne l’impression d’être le nouveau André Racicot ? Ça allait bien, Racicot, avec Patrick Roy puisque ce dernier gagnait la plupart de ses matchs, mais ce n’est pas nécessairement le cas de Carey Price.
Rétrospectivement, peut-être que Pierre Gauthier aurait dû engager un assistant à Carey Price en mesure de jouer une cinquantaine de rencontres et d’en gagner la plupart. Quelqu’un comme Roberto Luongo, Martin Brodeur ou Jaroslav Halak mettons. En voilà trois qui auraient été parfaits pour seconder Price.
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Il y a chez les gardiens de Canadien une certaine tradition de la controverse. On n’a qu’à penser à Patrick Roy qui a déjà fait des gros yeux à Mario Tremblay, à José Théodore qui est déjà sorti tard dans les bars avec Paris Hilton en se foulant une cheville, ou à Jaroslav Halak qui était tellement bon que ça avait pas de classe.
C’est pourquoi nous, dans les officines du Sportnographe, avons été surpris d’apprendre par l’entremise du Twitter que Canadien avait embauché Alex Auld pour seconder Carey Price. Alex Auld, un gars plate plate plate qui n’a comme seule ambition que de jouer de temps en temps quand Price pètera une coche contre les partisans, ou lorsqu’il aura trop bu la veille.
Est-ce qu’Auld (que Auld?) est vraiment le gentilhomme que l’on croit ? Est-il vraiment à la fois, grand, gentil et pas trop chigneux, comme on tente de nous le faire croire ? On n’est pas certains, mais il est pas mal certain que ce soit impossible. Il y a anguille sous Auld, c’est sûr.
Un gars qui a joué pour sept équipes en quatre ans a assurément un vice caché. Ronfle-t-il en dormant ? Est-il un tueur en série ? A-t-il terminé des études supérieures ? On le découvrira bien assez vite. Le scandale est à nos portes, et vous l’aurez appris ici en exclusive primeur. D’ici là, continuez de rêver aux futures montées à l’emporte-pièce de Alexander Avtsin en mangeant du blé d’inde.
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Si Stephanovitch veut aller en Bélarussie là, qui câlisse son camp en Bélarussie.
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Sur papier, il [Martin Brodeur] est vraiment, en fait on l’appelle le « recordman », c’est celui qui en a le plus, peut-être même plus que Patrick Roy.
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C’est vrai. Personnellement, j’en ai parlé la semaine dernière. J’aime Carey Price.
Et ici, au Sportnographe, quand on dit je t’aime, c’est qu’on le pense pour vrai.
La preuve? J’ai dit « je t’aime » à Meilleur au party de Noël l’an passé et depuis ce temps-là, il me demande à toutes les semaines si je vais laisser ma femme pour emménager avec lui. L’amour, on y croit.
Pourquoi j’aime Carey?
Je pense que c’est surtout parce que Carey, c’t’un gars pas ordinaire.
Une star. Une vraie de vraie. Celle que Montréal attend depuis des années. Un gars qui sait soulever les passions. Il tombe, se relève, épate la galerie, change une défaite en victoire, des buts en arrêts.
Parce qu’il est celui que l’on attend depuis Patrick Roy, depuis Guy Lafleur.
Au fond, plus j’y pense, plus je réalise que j’aime Carey parce que j’aime Jésus.
Oui, j’aime Jésus et à toutes les fois que je regarde mon crucifix accroché en haut de ma toilette je me répète la même chose : toi tu m’fais penser au p’tit Carey.
Et comme Jésus, pour que Carey fonctionne, il faut avoir foi en lui. Tout le temps. Dans les moments difficiles comme dans les moments faciles.
Alors je le dis et le redis, et faites comme moi : aimez Carey. Il vous le rendra bien.
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Pendant que l’écosystème médiatique sportif tergiversait sur l’avenir de Patrick Roy, ce dernier se cherchait une gardienne. Eh oui, on apprenait hier que Sa Majesté avait décidé de rester à Québec avec ses Remparts pour des « raisons familiales ».
En effet, il désire se concentrer sur la carrière de ses fils. Jonathan entreprend sa nouvelle vie de personnificateur de John Mayer, tandis que Frédérick veut devenir comédien, sans doute pour jouer dans des films indépendants de répertoire… ou dans une suite de Slap Shot. Remarquez qu’ils pourraient tous deux se ramasser à faire des combats ultimes comme Jose Canseco. On les imagine très bien en arriver là.
Mais ce qui nous inquiète dans tout ça n’est pas que Roy n’ait soufflé mot de la petite Jana, 15 ans, mais bien que Jonathan, à l’âge vénérable de 20 ans, soit incapable de se garder tout seul. Le petit est-il à ce point indomptable qu’il faille aller au Colorado pour trouver une nannie ?
Si j’étais Robert Gainey, j’offrirais le poste d’entraîneur à Roy en lui promettant de signer Robert Lang pour qu’il se charge de garder Jonathan et Frédérick pendant que le club est à l’étranger. Voilà qui est dit.
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PATRICK E. ROY a joué combien de match en saison régulière dedans la Ligne AMÉRICAINE ? Rien qu’un. Compris, PAT ?