Mario Lemieux
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Pis le petit gars en revient pas
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C’est tu comme voir arriver Mario Lemieux au Parc Lafontaine?
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Aux grands moments du hockey : les frères dans l’ombre.
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Du hockey comme dans le temps.
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Certains vous diront que les vieux Red Wings étaient trop vieux, et qu’il eût fallu que la Ligne Nationale leur accorde plus de deux jours de congé entre les deux matchs. Mais on sait très bien qu’il ne s’agit pas de la source principale de la défaite des Wed Rings.
Non, c’est tout simplement que l’équipe ne compte pas suffisamment de Québécois dans ses rangs. En fait, ils n’en comptent aucun. Si notre statisticien en résidence n’était pas en vacances, il nous prouverait sans doute un lien de causalité, ou de cause à effet, ou les deux, dans tout ça.
Il est maintenant clair que les Wings devront être proactifs sur le marché des échanges afin d’acquérir des joueurs d’ici. Voici une excellente occasion pour Robert Gainey d’échanger ses Latendresse et Lapierre au Détroit contre des attaquants de puissance.
Et si le Pittsburgh comptait plusieurs Québécois dans ses rangs, il ne faut pas oublier qu’ils sont aussi la propriété d’un Québécois : Mariou Lemioux. En conséquence, si le Détroit tient absolu à ramener la Coupe Stanley dans son giron, il faudra peut-être qu’ils acceptent une offre d’achat de Québécor…
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Ici, chez Sportnographe. Oui. Mario Lemieux. Bon, ce serait suffisant, mais poursuivons un peu. Les chiffres, on le sait, disent n’importe quoi. Mais ça dépend de qui c’est qui les dit. S’entend ? Si on couche su votre écran ceuzes-là : 76, 85, 114. Vous dites : Ça fait ben 199, Ron ? Oui. 114 et 85 font 199, en 76 parties. C’était en 1988-1989 alors qu’il était encore possible de snapper à partir de n’importe où et absolument n’importe comment en direction du but et que ça rentrait mes amis parce que les gardiens gardaient avec pas de style.
Creusons davantage. Toc toc. Arrêtons ici avant d’arriver en Chine, car nous n’aimons pas le riz ; ce n’est pas assez gras et avec du ketchup c’est pas bon. Voyez ? C’est que se pourrait-il qu’en 76 parties jouées par Mario Lemieux en 1988-1989 dans la Ligne nationale pour le Pittsburgh, un marqueur se soit trompé, voire ait oublié une passe quelque part et que, dans le fond, Mario Lemieux soit un remarquable oublié avec une vraie saison de 200 points, mais pas reconnue pantoute comme telle ? Une véritable drame humain. Fectivement, Benoît.
Or, pour les prochaines semaines, Sportnographe Sports s’est donné comme mission de ramasser en vidéo l’ensemble des matchs du Pittsburgh de la saison 1988-1989 afin de trouver LA fois où un marqueur officiel jaloux a préféré attribuer une passe à Jim Paek ou Rob Brown plutôt qu’à Mario dessus la scoresheet. Nous, on pense que c’est à Québec que ça s’est passé un soir de dégelée monumentale du Nordiques, ce à quoi Jean Dion répliqua cette semaine : “Je vous le dit les gars, le but d’Alain Côté, y’était bon.” Pauvre Jean.
Évidemment, il s’agit d’une tâche colossale. Nous n’écartons pas la possibilité de sous-traiter la tâche en Indes. Si vous avez des contacts, nous sommes preneurs.
Révisionnistes historiques de tous les pays, unissez-vous !
On reconnecte un moment donné.
Note : Ceci est une idée originale du webeur Kaven Benoît. Merci mon homme.
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Bang ! Bang !