Le meilleur des conjugaisons de Marc Bureau.
Tout ça dans un même segment de deux minutes.
Le meilleur des conjugaisons de Marc Bureau.
Tout ça dans un même segment de deux minutes.
Normalement t’aurais Plekanec avec les frères Kostitsyn sur le deuxième trio qui marchaient à pleine couture…
Hier, y’a Latendresse qui a marqué un but. J’pense que ça fait oouuuuff, y’a un gros piano pis l’gros singe qui y a débarqué de sur le dos, y’était content…
Vous me connaissez, je ne suis ni un désaxé, ni un homosexuel excentrique. Alors, quand j’entends George Gillett me qualifier de folle sur la place publique, j’aime pas ça. Évidemment, cette déclaration de Robert Gainey faite hier, rapportant les propos de son patron suite à la nomination de Jacques Martin comme entraîneur de Canadien, ne laisse personne indifférent.
Mise au parfum de la chose, la présidente du Conseil du statut de la femme, Christiane Pelchat, a déclaré ce matin que « les partisans de Canadien sont d’abord et avant tout des fous, pas des folles. »
Gabriel Grégoire, pour sa part, a tenté d’élever le débat d’un cran sur les ondes de CKAC Sports. Selon lui, même les journalistes sont des fous ; pire, des épais : « Sommes-nous des épais, les commentateurs, les journalistes du hockey à Montréal ? Sommes-nous des épais ? Je pense que oui. » (écouter)
On se souviendra que Guy Carbonneau s’est fait sortir de Montréal la première fois pour un doigt d’honneur (pas lui, un autre). Patrick Roy, lui, pour deux bras d’honneur. Que sommes-nous prêts à faire pour un tel manque d’honneur ? C’est une question que je vous pose.
Fort de sa récente expérience d’entraîneur avec les Cataractes de la Mauricie Pee-Wee AA, Marc Bureau n’a pas tardé hier soir à avancer une solution dans une reprise de 110% diffusée à TQS : « T’sé, on blâme toujours Canadien qui dit de dire aux joueurs kessé dire. Bin qu’on y dise [à George Gillett] kessé dire, pis au moins y’aura pas d’l’air fou. » (écouter)
Pour ma part, je mets ma brique du centenaire à la disposition de quiconque voudrait y pitcher dans face.
On reconnecte un moment donné.
Tsé on blâme toujours Canadien qui dit de dire aux joueurs kessé dire… bin qu’on y dise kessé dire pis au moins y’aura pas d’l’air fou.
Toi Jean, tu mets tes bobettes quand ils gagnent, pis tu les enlèves quand ils perdent.
Jean Pagé : Pourquoi Carbo essaie pas Lang avec Kovalev ? Marc Bureau : Y’était bon v’la 100 ans.
On essaye de se considérer comme la meilleure foule de la ligne nationale sur les 30.
…au lieu d’arriver pis de se garocher les dents devant la puck pour l’arrêter, il va faire le flamingo pis il va se tasser.
Y’a 700 joueurs dans la Ligue Nationale pis nous (les médias) on était bandés sur Daniel Brière.