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Via bleublancpisrouge.
À Nashville, Guillaume Latendresse n’était pas dans les estrades avant d’être appelé à remplacer Gionta, il faisait dodo :
« Latendresse was originally destined to sit that night, but an hour or so before the game, it was decided that he would play.
But they couldn’t find him.
He was back at the hotel sleeping.
Eventually they found him, woke him, and he suited up. »
Guillaume Latendresse est photogénique quand il joue dans le nez d’Albert Einstein.
Les rumeurs courent toujours autour du possible déménagement des Bulldogs d’Hamilton à Laval. Selon les calculs de Ron Fournier, qu’on ne peut évidemment pas remettre en doute, il est aussi long d’aller à Hamilton en avion que d’aller à Laval en char. Donc on oublie ça.
Toutefois, on apprenait ce matin par l’entremise du porte-parole de Trevor Timmins de Mathias Brunet que le Bulldog est un méchant bon club de hockey, dans le genre, avec pas de défaite. D’autre part, on a Canadien qui est sur le bord du gouffre après avoir remporté une défaite contre la meilleure équipe de la Ligne Nationale. Comment sortir Canadien de ce marasme ? Sûrement pas en envoyant Andreï Kostitsyn sur le premier trio.
Non, il faut plutôt faire graduer le Bulldog. Tout le Bulldog. Et l’entraîneur aussi, parce que selon nos sources qui lisent le journal, Guy Boucher serait pas mal la cause des succès de cette équipe. On ne sait plus quoi faire avec les Lapierre, Latendresse, Gill, D’Agostini, Kostitsyn ? Et bien s’ils étaient à Hamilton, on n’aurait plus besoin de se demander quoi en faire. Pensez-y deux secondes (pas plus).
En terminant, laissons-nous sur ce succès souvenir de l’Halloween 2005 de Canadien, dans le temps que c’était le fun. Si vous ne reconnaissez pas les joueurs, ce n’est pas à cause de leurs déguisements, mais bien parce qu’aucun ne joue encore pour Canadien…
Hier, y’a Latendresse qui a marqué un but. J’pense que ça fait oouuuuff, y’a un gros piano pis l’gros singe qui y a débarqué de sur le dos, y’était content…
Ici, au Sportnographe, on est souvent pris entre deux eaux. Par exemple, le titre de cet article ne serait pas acceptable au Sportnographe dans la mesure où il amalgame jeu de mots plate et information.
Pourtant, au Sportnographe, nous trempons dans les affaires drôles et l’information. Comment alors user de ce genre de titularisation sans tomber dans la facilité ?
L’utilisation d’un sous-titre permettait d’éviter cet outrage. Toutefois, depuis la refonte officielle du site, le sous-titre, ou sur-titre, est aujourd’hui absent.
Ce qui nous mène invariablement à la capacité de compréhension du lecteur. C’est-à-dire la capacité du lecteur du Sportnographe à comprendre qu’il est impossible pour nous de faire ce genre de blague (à part pour Pierre Trudel).
Alors nous dirons donc ici que j’use de votre bon jugement pour étaler au grand jour ce titre complètement absurde et sans goût.
Donc, à la conquête de l’Ouest, avec pas de Markov, avec pas de O’Byrne, avec pas de Metropolit.
Mais qu’à cela ne tienne, nous avons Guillaume Latendresse, pour qui les esseperts voyaient rien de moins que 30 buts cette année. Et à voir, on voit bin, c’est bin parti.
Prêt pour l’Ouest ?
Je regarde Guillaume Latendresse pis je me dis si tu continues à jouer de cette façon là, c’est sur et certain que Jacques Martin va te donner l’opportunité possiblement de jouer sur un deuxième trio.
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Ça y est, le grand jour, celui où l’on peut commencer à parler de Canadien en ayant quelque chose de presque nouveau à dire, est arrivé. « Presque nouveau » parce que bien sûr, le journaliste sportif (et nous aussi d’ailleurs) a anticipé un peu le début de la saison et suranalysé bien des aspects de cette nouvelle équipe.
Par exemple, on sait déjà que les seules recrues qui pourraient percer l’alignement sont P.K. Subban, Yannick Weber et Max Pacioretty. À moins qu’il n’y ait des surprises.
On sait aussi que Guillaume Latendresse pourrait avoir sa chance au sein du premier, du deuxième, ou du troisième trio, et que c’est une année charnière pour lui. À moins qu’il n’y ait des surprises.
On est aussi certains que la seule certitude est que Jacques Martin est la meilleure acquisition de Robert Gainey durant l’été, mais on savait aussi ça dans le temps de Guy Carbonneau.
On est enfin pas mal sûrs qu’on ne sait pas trop de quoi on parle, parce que la formation a été toute chamboulée, que la chimie pourra mettre du temps à s’installer (ou pas) et qu’il n’est pas impossible qu’on n’aille aucune idée de ce qui va se passer.
Tout ce qu’on sait dans le fond, c’est raconter tout ça avec des phrases plus longues pour alimenter vos émissions de sport en continu de fin de soirée. Et ça, c’est tout un art.
Cela fera bientôt trois semaines que Canadien est revenu de façon intensive dans l’actualité (comme s’il avait vraiment quitté), et cela fera bientôt trois semaines que les observateurs du monde du sport (genre nous) ont l’impression de vivre le jour de la marmotte : « le sujet du jour : Canadien est-il meilleur, à quel rang finira-t-il, Jésus Price marchera-t-il sur les eaux, qui sera le nouveau capitaine ? »
Eh bin nous, nous ne sommes pas mieux que les autres, mais quand même un peu. Alors, on vous pose la question : qui ne sera pas capitaine de Canadien ?
Andreï Markov : trop gêné pour aller s’obstiner avec l’arbitre et/ou trop intelligent pour savoir que ça sert à rien.
Scott Gomez : disqualifié parce qu’il désire apprendre le français. Un capitaine qui parle français ? Voyons donc.
Brian Gionta : trop petit pour en imposer à ses coéquipiers (Hal Gill par exemple).
Mike Cammalleri : trop porté sur les coups vicieux et ressemble trop à Henri VIII, un homme assez autocratique.
Maxim Lapierre : sa maison est trop petite pour inviter toute l’équipe.
Guillaume Latendresse : il a une famille à s’occuper de.
Travis Moen : c’est qui lui ?
Georges Laraque : son code d’éthique ne lui permettrait probablement pas d’argumenter avec des arbitres qui n’ont pas sa stature.
On oublie peut-être quelques joueurs, mais avec tous ces changements, on est un peu mêlés. Toutefois, il y a clairement quelqu’un qui sort du lot, et ce quelqu’un est les frères Kostitsyn. Avec l’aide de la mafia russe, ils sont notre homme pour imposer le respect dans le vestiaire.
Guillaume Latendresse, c’est le moment, c’est l’année de l’éclosion, faut que ça éclore !