Tu vas t’asseoir avec Tortorella, pis vous allez vous entendre, vous allez régler vos indifférents ensemble, puis tu vas faire partie de l’équipe.
André Roy
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Il y avait beaucoup de d’attentes du côté des des Oilers, c’est sûr. Avec les deux, les deux chevals, qui mènent le bal, ça rime, c’est malade!
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Faque là, je m’en vais mettre un tablier d’hôtesse de l’air, mais là, j’ai le cul toute à l’air t’sé c’est sûr. Faque là je vois qu’y a comme un tray, là, t’sé, un genre de cabaret plein de biscuits au chocolat pis des pépites de chocolat. Faque là je prends le cabaret pis je commence à aller dans la rangée pis servir des biscuits. Je m’en rentre un, un peu, dans la craque du cul. Pis là, au milieu de l’avion, je servais des biscuits, j’avais un chocolate chips cookie drette dans le cul, t’sé. Ça a changé le mood.
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Méchante ride, là, man. Là, on traverse New York au complet. T’sé comment c’est à l’heure de pointe? Heille, on est pris sur l’autoroute, 4 voies, ça bouge pas. J’ai envie de pisser, mon homme. Je suis pu capable. Y’a un sac de chips, je me mets à bouffer ça, moé. Rggghhh. Rggghhh. Je bouffe le sac de chips. Calme-toi ! J’ai envie de pisser, c’est soi je la sors par la fenêtre, ou je m’en va là-dedans. Je me lève dans le sac de chips. DI-LI-DI-LI-DI-LI-DI-LI. Un berlingot de Koo-laid. J’ai vidé ça par la fenêtre, yes!
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Moi je jouais position 69, Bantam. J’aimais ben le 69. Euh, non, c’est vrai, je jouais au centre, je jouais à l’aile.
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Ah c’est l’enfer man. Moi je suis entouré de femmes, hein, fait que ça crie, ça crie, ça, même le chien c’t’une femelle.
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Jamie Mata est devant un filet plus ouvert qu’une monoparentale trentenaire dans un 5 à 7 après deux coupes de rosé.
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Perdre sans équivoque un violent combat, effectuer le signe du coupe-gorge à son adversaire et se faire sermonner par son entraîneur devant les caméras n’est certainement pas une preuve qu’André Roy fera son entrée chez Canadien l’an prochain. Non. Ça prenait des gants.
Confrontée à la paire, la direction du Sportnographe, Baron en tête, décida d’appuyer ma démarche et d’y aller avec la publication de ce scoop, quitte à se tromper. Au pire, nous n’aurons qu’à répondre que nous maintenons notre version afin d’assurer notre crédibilité.
Pour tout dire, on vous la montrerait bien la paire, mais une preuve, ça ne se partage pas. C’est comme une femme. Bon point Alain.
Cela dit, les autres arguments appuyant notre hypothèse de la venue d’André chez Canadien sont nombreux.
D’abord, âgé de 33 ans, il est un joueur en fin de carrière. Un atout. De plus, malgré la consonance francophone de son nom, André Roy n’est pas un Québécois, mais bien un Américain, ce qui en fait un candidat de choix. En effet, Roy est né à Port Chester, aux États-Unis.
André est aussi pas bon, n’a jamais été bon, s’est beaucoup promené comme on dit dans le milieu et surtout, il gagne relativement cher, tout cela, en plus de devenir joueur autonome sans restriction à la fin de la saison. À un million, son salaire actuel, il s’avère une aubaine. De surcroît, paraît qu’il les droppe encore régulièrement et qu’il signe n’importe quoi, même des autographes.
Enfin, depuis le départ de Dave Morissette, le numéro 36 est disponible. Cela devrait convaincre André, si jamais il hésite. D’ailleurs, Pierre Gervais aurait déjà passé la commande de chandails chez Rousseau Sports. Au cas.
Une petite bière de Serge et on se reconnecte.
Et vous, qu’en pensez-vous ?