Stéphanie Dubois et Aleksandra Wozniak : le syndrome Alcine

C’est vraiment épouvantable. Y’a de ces jours où, franchement, je souhaiterais être Belge et croire que la monarchie, c’est pas con. Mais je suis Canadien, j’aime Canadien et je sais que la monarchie, c’est cave.

Ainsi, lorsque je regarde jouer au tennis une athlète dont on dit qu’elle est censée me représenter en tant que Canadien sur un court, eh bien, simornac, je m’attends d’elle qu’elle gagne. Pourquoi ? D’abord, car elle le fait beaucoup mieux (me représenter, je veux dire) qu’une reine sénile dans des sorties mondaines payées avec mes taxes. Ensuite, parce qu’au prix où je paie mon câble, j’ai le droit d’obtenir une victoire d’importance de la part d’une joueuse de tennis de chez nous et ce, pas juste lorsqu’elle joue contre une pas bonne dont tout le monde se sacre de, à moins évidemment qu’elle soit belle, Russe, cochonne et capable de faire la split.

Bref, tout ça pour dire qu’ici, au Sportnographe, on commençait à peine à s’intéresser au tennis et à se demander si c’était réellement un sport ou simplement un jeu de fillette c’t’affaire là. Or, les Pelletier, Wozniak et Dubois se sont vite empressées cette semaine de nous faire retourner à nos motos Custom ainsi qu’à notre Touladi, car franchement, dès qu’elles rencontrent chaussures à leurs pieds, elles ne sont même plus capables de lacer leurs souliers.

Si elles étaient noires, on dirait probablement que le tennis leur a sauvé la vie, car elles auraient pu finir dans un gang de rue du quartier Saint-Michel à Montréal en vendant de la drogue à des pimps ou à Jean Pascal.

Conclusion : Nos joueuses de tennis québécoises (sauf Hélène Pelletier, qui est maintenant joueusenaliste) sont toutes des pourries qui méritent rien de mieux que d’être lapidées su la place publique avec une brique du centenaire de Canadien payée par Sportnographe.

Voilà qui est dit.

Et puis, esscusez le ton agressif, c’est que je dors peu ces temps-ci.