Ainsi, Pier-Karl Péladeau, qui a l’air pas mal sûr de sa shot, estime que l’avenir de Canadien passe par les technologies de l’information, et non pas par un gros centre de concession :

« L’équipe pourrait ainsi saisir la chance de marquer des points en offrant à l’amateur de sports le contenu qu’il désire, au moment où il le veut, de la façon dont il souhaite y accéder et au tarif qu’il est prêt à payer. »

Quoi ? Canadien à temps plein, 24h/24 ? Plus besoin d’attendre que votre radio de sport en continu daigne accorder de l’importance à la Flanalette. Plus besoin de chercher les petits bouts de Canadien entre deux compétitions de bûcheronnage dans un réseau des sports. Fini d’attendre que les débatteurs de 110% glissent un mot sur votre équipe préférée. Plus besoin de cliquer sur « rafraîchir » dans votre navigateur Web en espérant que François Gagnon ait mis à jour son blogue.

Ce serait quasiment merveilleux. Un monde idéal.

C’est pourquoi le Sportnographe se prononce en faveur de l’acquisition de Canadien par Québécor. Ça coûtera peut-être cher d’abonnement, mais nous sommes rendus avec un compte de dépense, asteure.