Price est un bel humain, au fond

Ici, au Sportnographe, on est pas d’accord avec tout le monde. Même à l’intérieur de nos murs en papier peints du North Stars, il existe encore quelques désaccords. D’ailleurs, pas plus tard que l’autre jour, aucun membre du Conseil d’Administration de s’Est entendu sur une saveur commune de pop corn, ce qui fait qu’il a fallu manger des chips bacon fumé.

Ce n’est donc pas une surprise si ce matin, en ouvrant ma machine à internet électronique, il me fut donné de remarquer que le plus récent article de Piquette critiquait vertement notre jeune Carey, un joueur de potentiel agréable.

Alors, pour ceux qui me connaissent et je sais qu’il y en a pas mal dû à mon 2 amis dans le monde de Facebook, je ne pus pas m’empêcher d’être en beau joualvert contre mon collègue que l’on surnomme « la brute sans coeur » à l’intérieur du cercle fermé avec un cadenas rouillé de notre organisation.

Et c’est aussi sans surprise que j’appris avec stupéfaction et fumée secondaire que le jeune en a pleuré une bonne chaudière à la suite de ce texte pas trop gentil.

Alors ce soir j’aimerais adresser ce message à notre futur et j’espère que vous allez vous mettre avec moi bien serré pour que l’on puisse essayer de lui remonter le moral :

Mon cher C.P.,

Laisse moi te dire, de ma part, ainsi que de celle de tous les partisans de Canadien moins Piquette, qu’on sait que t’es un bel humain.

On sait aussi que t’es fort comme un cheval, avec un moral d’ours. Et que t’es le genre capable de te relever sur tes deux pattes comme un boeuf.

Lâche pas la patate mon beau garçon.

Jamais.