Il y a de ces matchs historiques, qui n’arrivent souvent qu’une fois par année, et qu’il ne faut pas manquer pour tout l’or du monde à moins d’avoir un billet du médecin. C’était le cas hier alors que les électrisants Prédateurs de Nashville visitaient Canadien (ou ce qu’il en reste).
Disons que c’était un match rempli de surprises : Lecavalier n’était pas en uniforme, Latendresse patinait vite, et on ne s’est pas endormi avant la fin. Mais surtout, c’était le grand retour de Radek Bonk qui était venu hanter Canadien en 2007. Cette fois-ci, c’est plutôt Canadien qui a hanté Bonk (mettons) puisque ce dernier a enfilé le but vainqueur de la Flanalette avec son patin de façon pas trop délibérée. Hon.
On soupçonne toutefois certains téléspectateurs d’avoir abandonné l’écoute du match dès la troisième minute afin de syntoniser un canal de vieilles séries télé en reprise. C’est dommage parce qu’un des moments forts de la rencontre s’est joué en fin de match, devant un filet désert alors que tour à tour, Kovalev et Plekanec eurent raté ledit filet qui aurait fait augmenter leur valeur marchande en vue d’un échange potentiel avec le Tampa. Le suspense était insoutenable.
Mais bon, déjà on commence à s’ennuyer des Prédateurs en songeant que dès samedi, Canadien affrontera les puissants Sénateurs, un club au sommet de sa forme. On salive déjà.
Game tellement plate que je m’en rappelle pas pentoute. Les noms d’équipes qui se traduisent similairement de l’anglais au français sont plates et donnent des matchs plates.
Moi, personnellement, j’y était et juste pour vous dire, que l’alcool ingurgité un peu trop rapidement à la Cage au Sports, avant la joute, me fesait fixer le rien pentoute durant de long moment.
ah ben j’avoue que nos 2 tirs de la 2ième période ont fait en sorte que cette période époustoufflante nous garde en haleine.