Metropolit n’a pas suffi

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Photo : THE CANADIAN PRESS/Paul Chiasson

On fondait bien des espoirs, ici au Sportnographe, sur l’entrée en scène de Glen Metropolit. Il a la même coupe de cheveux que Paul Meilleur-Aucoin, et ce dernier a tout un slap shot. On s’imaginait qu’il devait y avoir un lien. Mais non, Metropolit n’a pas su galvaniser les troupes.

Est-ce que l’absence de Sergeï pourrait être un facteur dans la défaite ? Au cours des « un » dernier match où il était de l’alignement, son frère a marqué trois buts. Cause à effet, comme on dit.

Un autre facteur de la défaite : la nervosité de Jaroslav Halak. C’est sûr qu’un tir à 300 miles à l’heure, c’est plus difficile à arrêter quand tu as fait pipi dans tes culottes et que ta main branle dans le manche. Carey Price quant à lui, on le sait qu’il s’en sacre. Donc pas de problème de stress de ce côté.

Enfin, dernier facteur de la défaite : la deuxième période. Si on n’avait disputé que la première et la troisième période, les deux équipes auraient été à égalité 1-1 et tout ce serait joué en prolongation, la où Canadien est bon une fois sur deux. Peut-être que Jacques Martin devrait intégrer (ou désintégrer) la deuxième période à son système ?

Bref, si on résume tout ça : Canadien en 6.