Au Sportnographe, nous avons une obligation contractuelle assez claire : il faut écrire des articles le plus souvent possible. Toutefois, il appert que les semaines se suivent et ne se ressemblent pas.

Prenez par exemple v’là deux semaines. L’équipe du Sportnographe planche sur une émission à l’envers qui lui donne des maux de têtes dignes de ceux que donnait Scott Stevens. Évidemment, une publication prend le bord et c’est vous, internautes, qui payez. Et alors que le groupe de créateur a à peine de temps pour aller déguster des soupes salées à la cafétéria de la Grande Tour Socialiste, le téléphone sonne :

« Oui bonjour ici Tout le monde en Parle, vous êtes demandé su’l plateau toute la soirée demain. »

Grand Dieu, comment ferons-nous pour arriver au boutte de notre semaine? Et voilà, un autre article saute. Et vous, chers lecteurs, avez le loisir de pâtir de notre sale lâcheté.

Prenez donc cette semaine ici en ce moment. Pas d’émission à l’envers. Pas de glamour. Ardien. Et pourtant, on vous laisse vous ennuyer en plein lundi alors que Canadien passe une de ses plus grosses semaines de la saison. Sans coeur sommes-nous? Mets-en. Et bien pire.

Alors quand ce n’est pas la poche de travail qui se remplit, c’est parfois les sujets sur Canadien qui nous semblent « lousses » de contenu. Le troisième trio, on l’a déjà couvert. Le scandale des deux gardiens. Fait. Latendresse? Plus là. Que nous reste-t-il de nos amours? Pas grand chose.

Et pourtant. Pourtant, il faut parfois pousser, un peu plus fort, un peu plus loin et, comme la pomme de Newton, un sujet va venir nous tomber sur la tête pour nous prouver que les changements climatiques, ça sert à quelque chose. Et aujourd’hui, en ce mardi de neige et de rien, une histoire m’est apparue en pleine face, une nouvelle d’intérêt m’a semblé essentielle à traiter : les punalités.

Vraiment, les pénalités chez Canadien : P-A-S D-E B-O-N S-E-N-S