Les grandes entrevues de Sportnographe Sports

L’avantage de faire un peu partie, mais presque pas, des vrais médias, c’est que ça donne accès à toutes sortes d’affaires. Parmi celles-ci, notons le café expresso provenant de machines brunes au sujet desquelles il est légitime de se demander combien ça fait de temps que l’eau est stagnante dedans le tuyau avant d’arriver dans votre tasse et aussi, les vedettes. Oui, ça donne accès aux vedettes.

Or, ce n’est qu’un début en ce qui nous concerne et nous vous demandons d’en convenir, mais bon, à la rencontre de Denis Coderre, on s’est souvenu de la phrase de Napoléon qui disait “On est toujours forcé de donner un sens au hasard ». C’est qu’en allant se chercher un de ces fameux cafés susmentionnés, ben nous l’avons croisé qui, d’un bon pas, s’en allait jaser crise politique avec un journaliste d’une télévision d’État dont nous préférons taire le nom, par souci d’objectivité.

À ce moment, Piquette et moi, carte de la FPJQ en portefeuille, songeâmes rapidement à quelques questions épistémologiques à poser à Denis qui, si vous ne le saviez pas, croit aux ovnis.

Finalement, nous laissâmes de côté cette idée de confronter son trip métaphysique avec les théories falsificationnistes de Karl Popper et préférâmes lui parler de Canadien.

Résultat : ça donne une entrevue de fond avec de l’opinion, peu de substance et de la censure. Oui madame, car à la question suivante : Monsieur Coderre, on vous appelle Capitaine Canada, doit-on conclure que vous êtes le Shane Doan de la politique ?, ben Denis a préféré ne presque pas répondre et nous demander de couper ça au montage. En toute honnêteté, on le comprend. Et nous, ça nous permet ainsi de se prendre pour Guy A.

Bref, un merci bien senti à Denis qui, en passant, a avoué connaître Sportnographe et s’intéresser particulièrement au Baron. Il lui a d’ailleurs souhaité bonne fête par l’entremise du site Facebook lors de son dernier anniversaire. Et c’est pas une joke.

On reconnecte un moment donné.

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