Les chigneux choyés par Patrice Brisebois

Il s’en est passé des choses récemment dans le merveilleux monde de la Ligne Nationale : Tie Domi et Belinda Stronach ont rompu, et Patrice Brisebois s’est blessé en se faisant médicalement examiner. Évidemment, ici, nous ne sommes pas du genre à aller fouiller dans les vidanges de la vie privée des gens, et que la Belle Belinda eut préféré une brute épaisse à un cultivateur de patates de terre, c’est juste pas de nos affaires. On n’écrirait même pas deux lignes là-dessus.

Non, ce qui intéresse vraiment, c’est la déconfiture du Brisé avant même qu’un seul zouf n’ait réussi à le huer. Vraiment, nous ne sommes pas choyés. Selon certains journalistes qui investissent toutes les tribunes d’opinion avec cette nouvelle, c’est vraiment malheureux parce qu’une foule de zoufs (les mêmes que plus haut) n’attendait que cette nouvelle pour tomber sur Pââtrice. Une chance qu’il reste le Sportnographe pour détourner le « feu des réflecteurs » de l’éclopé.

Sinon, en l’absence de choses à dire, le conseil secret des médias sportifs a décidé qu’il serait important de jaser de l’absence de dur à cuire matamore au sein de Canadien. C’est que chez les analystes de la vieille génération, une bonne bataille peut fouetter une équipe autant, ou presque, qu’un but en début de période, qu’un but en fin de période, ou qu’une pirouette de Youppi.

Bien sûr, Jimmy Bonneau nous semble un gars intéressant à rire de. Mais dans le pool du Sportnographe qui s’en vient à toute allure (il est caché dans un coin de l’internet de l’information), on aimerait mieux avoir Matt D’Agostini mettons.

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