Le Sportnographe songe à poursuivre ses activités en Russie

Vous auriez pu croire que le Sportnographe n’est pas de ces mercenaires prêts à vendre leur corps pour avoir la chance de se faire dorer sur les berges du lac Baïkal en empochant les millions à tour de bras, mais vous étiez dans le champ. Si vous aviez été observateur, vous auriez constaté que nous sommes prêts à toutes les bassesses pour obtenir une douzaine de bières flattes ou des billets pour les régates. C’est que nous avons des familles à faire vivre.

C’est pourquoi les comptables du Sportnographe se penchent actuellement sur l’offre d’une équipe russe qui a besoin de faire rire d’elle et qui a quelques problèmes avec sa faune médiatique à elle. Voici ce que son porte-parole avait à nous dire :

« Мальчики, нам нужно вам, чтобы вы могли прийти и учить урок, который те пустые журналистов ничего не говоря, и все о наших игроков только для того, чтобы заполнить вакуум в своих газетах. Они vulturs и мы Вам нужно как можно скорее. »

Outre une datcha en banlieue de Grozny pour nos vacances estivales, l’équipe (qui désire garder l’anonymat avant qu’une entente ne soit conclue) nous offre un serveur chromé avec des flammes holographiques de chaque côté, et la promesse de voir toute personne qui critiquerait notre travail assassiné subtilement. Le site serait éventuellement disponible à l’adresse Sportnographe.ru.

Disons que c’est alléchant, et considérant le fait que François Gagnon semble vouloir s’occuper du 23 décembre à notre place, il ne reste plus grand-chose pour nous retenir à Montréal…

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