La vue était belle

Samedi soir, la haute direction du Sportnographe s’est sacrifiée pour vous afin d’aller tester le toit de la brasserie Molson pendant les feux d’artifice. Puisqu’il serait assez long de faire un compte rendu de la soirée (et qu’on ne s’en souvient pas tant que ça), allons-y avec les pour et les contre d’un tel événement promotionnel :

Pour :

- La vue sur la ville même si elle n’est plus hockey ;

- L’excitation d’être sans cesse sur le point de mourir suite à une fuite d’ammoniaque ;

- Les succès souvenirs d’un DJ quinze ans en retard (c.-à-d. St-Germain, Rage Against The Machine, Marie Carmen…)

- La possibilité de ne prendre que quatre ou cinq gorgées dans sa bière et d’aller en chercher une autre ;

- Phil’O’Zouph et sa maîtresse ;

- Les gens de NVI ;

- Émile qui se frotte ;

- Carl qui ne se frotte pas (mais qui vous fait renverser votre Morson Dry) ;

- Superfred ;

Contre :

- La Molson Dry (on s’y fait à la longue) ;

- La bouffe de mauvaise qualité avant les feux ;

- La bouffe de très mauvaise qualité après les feux (quelque chose comme de la nourriture que la cafétéria de votre école secondaire aurait jetée) ;

- L’absence d’Alex Kovalev ;

- La file de 20 minutes pour aller faire pipi en groupe de quatre pendant les feux qui durent 30 minutes ;

- Les mannes dans la Molson Dry ;

- Un vidéo corporatif avec John Molson qui flatte un champ de houblon d’une main comme dans Gladiator ;

- Superfred ;

Sinon, voici quelques photos commentées du party :

La bouffe en question.


Ça ne parait pas, mes ces verres sont presques vides selon nos standards.


Une « time capsule » à ouvrir en 2086 et qui contient probablement, tel que le suppose Normand Leblond, de la Molson Grand Nord.


Nous étions juste là.


Les dangers de l’ammoniaque, avec une faute dans le mot « ammoniaque « .


Des sandwiches pas de croûte.


Superfred.

Une mémé qui ramasse un verre cassé pendant une mêlée autour de Rage Against the Machine.