On dira ce qu’on voudra, quand on voit, on voit bin.
Le meilleur exemple est certainement ce vieux plat de poulet chasseur sur le bord de la fenêtre de notre bureau. Quand on le voit, on voit bin qu’yé pu mangeable.
Autre évidence, le gardien de but dans l’environnement Canadien. À voir, on voit bin. Le match d’hier en étant l’exemple le plus patent. Et si certains me diront que “patent” c’est un mot compliqué, je leur répondrai que patent n’est que la contraction d’un exemple avec des patentes. Comme par exemple, le match d’hier contre le Anaheim, y’avait plein de patentes dedans qui nous prouvent que le choix du gardien des buts chez chose binouche, c’est clair comme de l’eau de roche.
Carey Price en 20 minutes : 3 buts.
Jaroslav Halak en 45 minutes : 0 but.
Fait que?
Fait que comme dirait Jacques Demers, la valeur d’Halak prend sans cesse de plus en plus de valeur. C’est juste de valeur qu’elle soit pas plus valeureuse que la valeur de Carey.
“Bon point, j’suis tellement d’accord avec toi, Joël.”
Je dirais même plus: « Bon point, j’suis tellement d’accord avec toi, Joël. »
J’te partage à 100%.
L’unanimité est toujours unanime alors «Bon point j’suis tellement d’accord avec toi Joel»
BOOM ! BANG ! Envoye donc su’l derrière Carey !
Franchement les gars, vous êtes dans le champ, mais quand même, bon point, j’suis tellement d’accord avec toi Joel.
Canadien a beaucoup trop de valeur.
C’est un exellent que tu m’apporte là mon Joel
T’as tellement raison Joël! (Main gauche sur le bras droit à Joël pour qu’il se sente appuyé)
La valeur de Halak prend de la valeur de valeur directement proportionnelle a la perte de valeur de la valeur de Carey. J’aime pas ce que je vois Pierre.
C’est ca que j’aime d’Halak, Pierre. Il fait le travail et sa valeur monte…
DÉ-PLO-RABLE! Votre article n’est qu’un ramassis de jugements de valeur…
Votre article est un plein de préjugés anti-Price. Vous plantez le Sauveur, mais si à la place c’était Scott Gomez qui avait eu 3 buts en 20 minutes ben là vous seriez ben ben content.
C’est ce que je pense pis je pense qu’on peut pas se tromper avec ça.
Oui Chantal,j’abandonne dans le même sens que toi, Joel
Price=Prix=Valeur.
Toute que de la vraie fausse logique pure a 100% mon cher Réal!
Ce qui est le plus patent lorsqu’on se trouve dans une marée d’ironie et de discours qui ne fait sans cesse que renvoyer à son contraire (voyez comme j’ai préféré une définition imprécise dite vulgarisée “à la place que” écrire antithèse, oxymore, enfin, tous ces mots jargonneux (toute est dans toute) auxquels je n’y comprends arien sinon un poil sur le cheveux d’l’aile d’la mouche dans ma soupe)et là, comme à ce moment-ci vous ne devez plus suivre ce que je dis, je réitère (toute est encore dans toute) le problème avec l’ironie et le discours contradictoire (pour faire court) c’est qu’il se confond aisément avec le non-sens et/ou l’incompréhension. C’est-à-dire que lorsque je lis les talkbacks je cherche à ce qu’on m’explique. Entendu, jugements de valeurs, victime sacrificièle, Halak sur le bucher et Bégin dans bande, mais pour ce qui est de Joel et du derrière de Carey, n’aurais-je pas d’humour? Steve ? (toute sera toujours dans toute. Même si j’ai entendu dire que des étudiants, après avoir lu l’article “La mort de l’auteur” de Barthes, clamaient qu’il voulait tuer les auteurs, mais que nous l’en empêcherons!)