
Vous le savez, nous du Sportnographe sommes extrêmement ingénieux lorsque vient le temps de trouver des solutions pas si simples à des problèmes complexes. C’est nous qui avons suggéré à Carey Price de repeindre son casque pour être meilleur, et c’est nous qui avons donné l’idée à Jacques Martin de se laisser pousser les oreilles pour attirer l’attention de ses joueurs plus efficacement.
Mais pour ce qui est de Scott Gomez, le “Picasso de la zone neutre” comme on aime bien l’appeler de temps en temps, nous sommes à court de solutions imaginatives. Nous avons cru un instant que de laisser sa strappe de culottes lousse aurait pu l’aider, mais force est d’admettre que pas pantoute.
Que reste-t-il donc à Canadien pour briser la léthargie de son deuxième centre ? Le renvoyer dans les mineures ? Racheter son contrat et l’envoyer à Battle of the Blades ? Le faire jouer à deux centres avec Jeff Halpern ? Aucune de ces réponses.
Non, Gomez est une cause perdue. Il faudra simplement l’endurer. Et pour ça, nous en avons une solution : du gros gin. Tout le plaisir est pour nous.
Même si nous vivons dans un système dynamique complexe portant le joli nom d’Univers, certains problèmes y afférents peuvent très bien se satisfaire d’une solution simplissime, comme c’est le cas avec le jeu de Gomez. Il suffit de le faire jouer durant 60 minutes par match; il ne pourra pas soutenir ce rythme longtemps et va se blesser grièvement au point de devoir mettre fin à sa carrière. Et le soi-disant problème aura vécu ce que vivent les roses : l’espace d’un matin!
Cela vous paraît sadique et pourtant c’est ainsi que se comportent les administrateurs et les politiciens… incompétents, lesquels sont légion.
en fait il faudrait le faire jouer 60 minutes contre une équipe particulièrement goon… genre le dépliant ou encore gros boston… venez pas me dire après que Nathan Horton ou l’autre là… Milan Lucic auront pas l’occasion de lui mettre un coup dans tête digne de Patrice Cormier(tm) qu’il saura se rappeler… Gomez, pris par une frousse inégalée, n’aura pas d’autres choix que de se soumettre lui même au ballottage et d’aller aider les Ryan White de ce monde au Hamilton…
Il faut lui donner des bonis de performance; ce gars-là marche à l’argent, c’est évident…
À 8 millions la saison, il y a place à des bonus ! À 100 000$ par match, ses points nous coûtent en ce moment 340 000$ chacun. C’est peu quand on compare aux 46 000$ par points que Lapierre nous coûte, pour un joueur de 4e trio qui a… un point de moins de Gomez. Ah oui, et deux buts de plus…
Il faudrait lui faire jouer en boucle le film Mystery Alaska.
Hahahahaha!
Une blessure, on le sort de la masse salariale et on embauche cinq jambons pas meilleurs mais vers lesquels nos attentes sont nulles. Tout le monde est heureux.
J’abonde dans le sens d’Yvan Piquette : qu’on lui fasse boire du gros gin ! 😉
Je me serais attendu à ce que M. Piquette lui fasse boire du gros rouge qui tache!
Je pense que le gros gin, c’est pour nous…
Étant personnellement contre le clivage et pour l’intégration de masse, j’opte pour le gros gin équitable pour tous, Sicotte Gomme-Aise inclus.
Une cousine éloignée en a fait une thèse de…
http://www.institut.math.jussieu.fr/theses/2007/gomez-aparicio/these-gomez-aparicio.pdf
“… Soit G un groupe localement compact…” où G = Gomez
je comprends pas trop le lien, mais c’est cool une thèse, je garde ça dans mes dossiers et je reconsidère l’option de faire un doc!
bah comme Gomez y’a rien à comprendre…
Jamais trop tard pour faire un doc. Regardez Lise Bissonnette, anciennement journaliste au «Le Devoir», qui se dit toute heureuse d’être contente de retourner à l’univarsité su’ la Montagne en cette tristounette période post-canonisation du frère Chose-là. Ma’me Biss. va se pencher sur la vie hautement frénétique du très illustre fils de George Sand.
Ah! quel pertinent potin qui me permet d’établir un joint entre le merveilleux monde du sport professionnel et celui de l’intellectualité… oups! de l’intelligentsia!
Je quitte avant de ne plus me comprendre.
Ah! très édifiante cette bijectivité du morphisme tordu!
On pourrait peut-être l’habiller comme deuxième goaler. Comme ça, il ne nuirait pas à l’équipe…
Ou lui faire porter le costume de Youpi!… sur la glace. Ce aurait le mérite d’être divertissant.
Ça c’était très drôle, merci beaucoup!
Suggestion révolutionnaire pour relancer Gomez:
Remplacer ses deux ailiers par LES SOURCILS DE JOEL BOUCHARD (ils travaillent vraiment vraiment fort durant TOUT le match).
Ne me remerciez pas.
[…] avec le Spornographe, la solution aux problèmes de Scott Gomez: y’en a […]
moi je suggère qu’il fasse un peu dans la superstition. Il reprend son numéro de l’an dernier, le 11 était annonciateur d’une catastrophe appréhendée et se laisse pousser les cheveux question qu’on le reconnaisse moins.
Qu’il écoute les conseils prodigués de Guy Lafleur et qu’il les mettent en application, Sainte-Flanelle de Gommebitch !