La lune de miel entre Saku Koivu et le Sportnographe continue

Canadien a joué hier comme dans le temps où il affrontait José Théodore et huait Patrice Brisebois : avec du panache dans le jock-strap. Une bonne partie des sept merveilles du monde a eu sa chance : la Merveille de l’Ohio et la Merveille Grecque ont toutes deux eu leur moment de gloire, avec des buts dans le but.

Michael Ryder n’est pas une merveille, lui, mais il est toujours merveilleux de voir comment il sort de léthargie avec des buts au moment où ça ne compte pas. De toute façon, même Dindonneau, qui fait du boudin, aurait pu la mettre dedans celle-là, tellement la passe de Saku Koivu était sur le papier collant.

D’ailleurs, il est clair que Koivu a regagné la confiance du Sportnographe. Il n’y a pas à dire, son nom est synonyme de courage (ça on le savait), mais aussi d’excellence. Officiellement, nous du Sportnographe, réitérons notre confiance en Koivu pour lancer la Stanley dans les baies vitrées de la Catherine.

Avec Kostopoulos en feu comme ça, emmenez-en, pour voir, des débiles du New Jersey !