Il y a de ces choses qu’on oublie souvent dans le merveilleux monde du sport. Par exemple, on ne se souvient pas toujours que “les joueurs sont des humains beaucoup plus que l’on pense” même si les analystes nous le rappellent constamment.
Nous au Sportnographe sommes des humanistes, ce qui nous permet d’aller au-delà des joueurs pas bons et de mettre le doigt sur la détresse qu’ils vivent. Le cas de Scott Gomez est particulièrement troublant.
On se doute bien que l’homme derrière le banquier doit souffrir énormément de sa situation. Il est honni autant par les amateurs que par les experts. On suppose qu’il aimerait bien les faire mentir, mais chaque match que le bon Dieu amène, il échoue lamentablement malgré toute la bonne volonté du monde.
Imaginez la détresse de cet homme qui n’a trouvé comme solution que de feindre une blessure éternelle pour satisfaire tout le monde. Imaginez comment il doit se sentir lorsqu’il revient chez lui après un match en écoutant Ron Fournier. Imaginez-le, seul dans son lit, à pleurer.
c’est très vrai… j’ai déja pleuré à chaudes larmes à force de me tordre de rire …
Selon moi, voici encore une stratégie de convergence de l’empire.
Si on se fie à la situation, Scott Gomez va probablement vouloir partir en pleurs de Montréal suite à une grave dépression.
Qui relate depuis quelques semaines, le départ d’un ancien Canadiens en dépression. TVA Sports!…
Je ne serais pas surpris que Gomez soit recruté par l’empire pour aller raconter sa dépression dans une entrevue avec George Laraque, et dire à quel point les partisans de Canadiens c’est des pas fins.
Scott Gomez est peut-être le Réjean Tremblay de Canadiens. Il attends juste que les Nordiques reviennent à Québec pour changer de camp!
vous vous attendez à un miracle, avant son arrivé à Montréal il n’avait que 150 buts en 9 saisons en veillissant il a certainement perdu de sa rapidité.
L’erreur c’est sa venue à Montréal…