Kostistyn, comme dans du beurre

Ça fait longtemps qu’on le dit, ici au Sportnographe : André Kostistyn est en toute franchise un joueur de concession. Ne cherchez pas dans nos archives, c’est plutôt lors des rencontres de planification stratégique que nous en discutons à voix haute, sans micro caché ni obligation de votre part.

Non mais, il fait peut-être souvent la baboune notre Andrei, mais quand on lui mets deux ou trois défenseurs robustes dans le chemin, il sait trouver le fond du beurrier.

Pendant ce temps, le sauveur Carey « Jésus » Price s’en fait enfiler à la pelletée par des mineurs. « Ils l’ont brûlé », ne cesse de répéter Normand Leblond, qui, même s’il est généralement prompt à sauter aux conclusions, est capable de différencier un feu de paille d’un feu de foyer. Dommage qu’on ne trouve aucun jeu de mot à faire avec « Kostistyn » et « immaculée conception ».

N’empêche que si on additionne tous les points de Canadien grâce à une feuille de calcul Open Office, Canadien se retrouve à 56 points avec le deuxième plus haut total de points de la section Est. Va nous falloir une bronchite ou un quelconque streptocoque rapidement pour que les experts ne perdent pas toute leur crédibilité durement amassée…