Koivu n’est pas finnish : Le bouleau est un puissant leader et un habile kiekkoilija

Ici au Sportnographe, on n’y va pas de quelques gouttes d’eau sur les chaudes pierres volcaniques. Comme le récent constat de Réal Munger, notre quête d’exclusivité sur le dos du capitaine se fait plutôt à grand coup de louche. Cette fois, elle nous mène à traduire un commentaire bouleversant d’un journaliste Finlandais tout juste paru hier et ma foi, il était temps qu’on le fasse car La Presse aurait pu répéter son Kovalevgate tout croche.

Le texte est signé Kimmo Vainikainen, il est disponible ici, mais notre version traduite électroniquement est un peu plus compréhensible.

Koivu et Canadien ont besoin de la différence

(Traduction de « Koivu ja Canadiens tarvitsevat eron »)

Les rumeurs ont eu le temps de vendre Saku Koivu au San Jose Sharks sauvage. Malheureusement, le transfert n’a pas pu être réalisé. La gêne, parce qu’il aurait été préférable pour toutes les parties, si les rumeurs étaient vraies.

(Ça commence fort non ?)

Montréal Canadien bouillonne. L’équipe explore dans son creux de la maison et le public “boo” au commandant de bord. Où va la presse le cri “lööppi” jaune avec des rumeurs juteuses dans lequel le finnois longtemps capitaine de l’entreprise riche en tradition ?

(Boo = pourri, lööppi = Dave Morissette.)

L’impatience du public n’est pas nouvelle. Les partisans de la plus réussie de la LNH se sont habitués à la victoire, au moins au cours de ces dernières au cours des années. Au moment de défaites on s’attend à ce que l’icône de l’équipe, le commandant de bord porte la plus grande responsabilité.

Canadien toutefois, les présentations qui variera de la présente saison ne sont pas la faute de Saku Koivu. Lorsque le matériel de l’équipe est plus complète que l’étendue de l’Ostrobotnie et de la route du navire qui dérape dans la tempête. Un pas même si la lettre C avait été tatoué dans un coeur.

(L’Ostrobotnie est une région côtière de l’Ouest de la Finlande.)

L’entraîneur chef Guy Carbonneau raconte sur une situation confuse et désespérée beaucoup, organiser la chaîne de jouer. Dans la pièce chaque participant reçoit la possibilité d’expérimenter dans les ykkösketju et de la réussite du prix est une commande à la nelosketju ou pressikatsomo.

(Dans l’ordre : les saunas, les bars de danseuses et la galerie de presse.)

Les expérimentateurs, les effets et les succès ont été de cette catégorie que l’on pourrait régler encore quelques ailiers sur le coté de Koivu. Rocket Richard ou Guy Lafleur la présentation de portraits aussi réussira probablement mieux que michaelryderit ou mathieudandenaultit.

(Michael Ryder et Mathieu Dandenault, évidemment).

Le bouleau gagnerait un meilleur. Même si le rôle du capitaine de la plus riche en tradition de club de sport dans un monde déjà lui-même est un hommage incroyable, rien n’est encore gagné avec la simple lettre C.

(Bouleau = Koivu. C’est vrai !!! )

Le bouleau est un puissant leader et un habile kiekkoilija. On peut seulement imaginer ce que Koivu irait dans le sens par exemple derrière Joe Thornton en a peu plus de pression sur le non-rôle.

(Kiekkoilija = Kik Cola.)

Koivu et parfois Canadien est ferme naturellement. Encore qu’il serait bon de laisser Canadien également commandant de bord au large de ses sympathisants. Si aucun problème majeur ne se fait pas, des défilés sont organisés à Montréal au lieu du championnat de la coupe Stanley en tant que seul l’honneur de la dernière “pudotuspelipaikka”.

(Pudotuspelipaikka = pas du tout ce Paul Anka.)

Les traditions sont fortes à Montréal et il est bon de respecter les traditions.

La différence devrait sûrement faire un malade, lui Koivu est le meilleur icône de l’équipe actuelle et le plus grand favori de plusieurs supporteurs.

Finnish.

L’auteur est l’ancien rédacteur en chef de la « LNH Jatkoaika » et suit activement la LNH. Il affirme comprendre le hockey sur glace.

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