Le premier budget de l’ère Marois vient à peine d’être dévoilé que déjà le Québécois moyen partisan sportif se retrouve en profonde dépression, recroquevillé sous son divan deux places entouré de mousse de nombril, de poils de chat et de graines de chips. Mais pourquoi le Québécois moyen partisan sportif serait affecté par le budget Marois alors qu’il ne s’intéresse que peu ou prou au débat politique actuel et pour qui Jean-Martin Aussant n’est rien d’autre qu’un autre nom composé, fléau des années 80?
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