C’est la faute de Dominic Moore

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Photo : (AP Photo/John Amis)

Canadien allait bien. Canadien était sur une lancée. Six victoires de suite (ou quelque chose comme ça, on avait arrêté de compter tellement il y en avait). Quelque chose comme un gardien numéro un. Puis soudainement, tout s’effrond. Comment déterminer le facteur déterminant qui a mené à ces deux défaites de suite ? Si on était des experts sportifs, on le saurait, mais ce n’est pas le cas.

Adoptons donc une méthode scientifique. Il suffit en effet de comparer la situation d’avant la défaite à celle d’après la défaite, et de déterminer ce qui a changé entre les deux. Les différences sont rares. Même gardien, mêmes joueurs, même entraîneur, même chandail, même prix sur la bière au Centre Bell. Tout semble identique.

Oh que non. Parce que lors du match contre le Toronto, l’amateur de Flanalette fit une découverte que certains qui manquent de vocabulaire qualifieraient d’incroyable. Samedi dernier, on apprenait que Dominic Moore parlait français ! Pire que ça, il aurait étudié à Harvard en sociologie !

Qu’est-ce que ça implique ? Oui, qu’il peut comme Meilleur-Aucoin dire des choses comme « en tant que sociologue, je suis fasciné par la nouvelle couleur qu’ils ont choisi pour peinturer notre bureau ». Mais ça veut aussi dire qu’il ne peut pas être bon. Un joueur de hockey parlant français et éduqué de surcroît ? De quoi foutre le bordel au sein d’une équipe.

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