C’est la faute à Andrei Kostitsyn

Ce n’est pas parce qu’on écoute simplement la période de prolongation et la fusillade qu’il est impossible d’analyser un match. De toute façon, l’important, c’est le résultat final, et encore une fois, Canadien a perdu oubliant son rendez-vous du 23 décembre. Il y des points positifs et d’autres négatifs autour de cette défaite.

D’abord, on a trouvé que Andrei Kostitsyn avait l’air passablement déprimé. Le néo-Québécois d’origine Bélarusse, arborait sa traditionnelle face de boeuf au moment de la fusillade, et a servi une feinte d’une nonchalance digne de Réal Munger sur patin qui n’est pas parvenu à déjouer Marc « Rousseau Sport » Denis. Cette défaite, c’est la faute de Kostitsyn. Échangez-nous-le contre Patrick Marleau, ou bien rapatriez son frère pour lui botter les foufounes, mais faites quelque chose.

Du côté des bonnes nouvelles, le Sportnographe a appris par l’entremise de son camelot que Bryan Smolinski serait absent pour six semaines. La Merveille de l’Ohio s’est en effet entorsé quelque chose dont on ne se souvient plus du nom (et ça ne nous tente pas de regarder même si ça comblerait un petit espace au sein de notre manque d’imagination). Il y a de l’espoir !

En tous les cas, Canadien est en chute libre dans l’eau chaude et ça devient de plus en plus difficile de commenter leurs mésaventures en regard des priorités qu’amènent le temps des réjouissances de l’hiver. Mais comment font-ils pour divaguer sur toute une page, jour après jour, à propos des succès du quatrième trio (à ne pas confondre avec le premier trio) ?