Nous, au Sportnographe, croyons qu’il est plutôt facile d’alimenter les ondes vides de mots. Il en va tout autrement lorsqu’il faut garnir nos pages virtuelles.
À la chasse aux primeurs, donc, nos appels laissés à une charmante réceptionniste d’une grande organisation n’ont pas été vains. En échange d’un quelconque tête-à-tête à être nommé plus tard, elle nous a tout raconté ce qu’elle avait besoin de nous dire : « Boivin pis les autres feelent cheaps et veulent faire plaisir à Carbo là là. »
Ainsi, comme c’est le cas lorsqu’il y a des déchirures à recoudre, Canadien prendrait un chandail du vestiaire de la boutique et le retirerait pour de bon. Canadien jongle avec le support, nous le croyons.
Le 21 au plafond des fantômes ? Absolument, compte tenu que cette ascension pardonne toujours le passé : Bleu de rage, Blanc de peur et Rouge de joie sont des couleurs et émotions qui ont marqué les visages des carrières et sorties de Roy, Lafleur et Savard, pour ne pointer qu’eux.
Personnellement, nous, du Sportnographe, souhaitons cet honneur à temps pour les détails. L’effet motivant fouetterait les équipiers en manque d’émotivité, d’où l’importance de l’effet motivant. Nos sources généralement discrètes nous avisent toutefois que les cérémonies n’auront lieu qu’en 2013, laissant la guise à Bob et tous les jouteurs de l’édition du Centenaire de se diriger ou non sous d’autres cieux.
Guy a marqué du doigt d’honneur sa carrière à Montréal et ses jouteurs ont fait de même avec lui. Canadien lui doit bien ça.
Une réflexion comme ça :
Est-ce juste moi qui trouve que le Canadien brûle ses entraîneurs-chefs comme le Parti Québécois brûle ses chefs ?
Bon point monsieur Coyote.
@Capitaine Coyote : Je m’imagine très bien la scène, avec un Kovalev qui répand l’essence et un Koivu qui allume les allumettes.