Canadien : l’heure est aux bilans

Vous le savez, nous du Sportnographe sommes toujours en avance sur notre temps. Ne sommes-nous pas les premiers à avoir suggéré que Carey Price était un feu paille, après son premier match dans la Ligne Nationale ? La réponse est oui.

C’est pourquoi nous avons décidé de commencer dès aujourd’hui les bilans de fin de saison, une journée avant l’élimination de Canadien. Voici le premier d’une série de 47 articles sur la saison de Canadien et sur son avenir à court, moyen et long termes. Pour commencer, nous répondrons à la question qui vous brûle le haut du corps : Qui doit rester, qui doit partir ?

Parmi les joueurs autonomes sans compensation :

Tanguay : Un petit gars de chez nous. On le garde en invoquant son mal de dos pour réduire son salaire.

Koivu : Aux vidanges.

Kovalev : Canadien pourrait le garder et l’obliger à jouer avec pas de casque, c’est dans ces moments qu’il est le meilleur.

Lang : Tant qu’à embaucher un Smolinski ou un Mike Johnson, pourquoi ne pas le garder pour pas cher ?

Bouillon : On le garde si Robert Gainey ne l’a pas brisé définitivement après l’avoir forcé à jouer.

Dandenault : Il mérite d’aller jouer à la défense pour le Nashville.

Komisarek : On le signe et on l’échange une semaine après, au cas où quelqu’un ne se serait pas rendu compte qu’il est surévalué.

Brisebois : Ouais, non.

Schneider : Aux vidanges. Weber le remplacera avantageusement.

Kostopoulos : Aux vidanges. Ça obligera l’entraîneur à associer quelqu’un de bon à Lapierre et Latendresse.

Quant aux pas autonomes, si nous étions Bob (ou son successeur), nous échangerions les Kostitsyn, Plekanec, Metropolit, D’Agostini et Price. Faudrait juste garder Higgins pour avoir au moins un cas problème sur qui jeter le blâme.

C’est ça qui est ça.