Canadien était drogué

Ainsi, Canadien était drogué. C’est ce que nous apprend le bon docteur Duquette après s’être fait interroger par ses pairs. Disons que ça expliquerait le cheminement erratique de l’équipe au cours des dernières années. Nous au Sportnographe, quand on prend de la drogue, on fait des niaiseries alors Canadien ne doit pas faire mieux.

Parmi les effets secondaires de l’EPO, on note évidemment l’augmentation de la pression artérielle en zone neutre qui serait due à une altération de l’homéostasie cellulaire du calcium. C’est ce qui expliquerait la tendance qu’avait Canadien à sans cesse dégager de façon non refusée la rondelle.

On note aussi comme effet secondaire le risque de complications thrombotiques dans le haut du corps (le coeur, genre). D’autre part, on sait que les drogues dures font rapetisser la taille des testicules. L’amalgame de ces deux effets nous permet de mettre le doigt sur l’origine du refus de Canadien d’aller dans les coins.

Notons que les joueurs ayant fréquenté Maurice Duquette auraient tous été échangés dans l’ouest, ce qui nous donne quelques indices sur les suspects : Sheldon « slap shot de l’enfer » Souray, José « Propecia » Théodore, Craig « épice à BBQ  » Rivet, Mike « la calotte » Ribeiro, et Jan « j’ai peur de mon ombre » Bulis. Lequel est le plus susceptible d’être un junky ?