Alex Auld, un scandale à retardement

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Photo : AP Photo/Nick Wass

Il y a chez les gardiens de Canadien une certaine tradition de la controverse. On n’a qu’à penser à Patrick Roy qui a déjà fait des gros yeux à Mario Tremblay, à José Théodore qui est déjà sorti tard dans les bars avec Paris Hilton en se foulant une cheville, ou à Jaroslav Halak qui était tellement bon que ça avait pas de classe.

C’est pourquoi nous, dans les officines du Sportnographe, avons été surpris d’apprendre par l’entremise du Twitter que Canadien avait embauché Alex Auld pour seconder Carey Price. Alex Auld, un gars plate plate plate qui n’a comme seule ambition que de jouer de temps en temps quand Price pètera une coche contre les partisans, ou lorsqu’il aura trop bu la veille.

Est-ce qu’Auld (que Auld?) est vraiment le gentilhomme que l’on croit ? Est-il vraiment à la fois, grand, gentil et pas trop chigneux, comme on tente de nous le faire croire ? On n’est pas certains, mais il est pas mal certain que ce soit impossible. Il y a anguille sous Auld, c’est sûr.

Un gars qui a joué pour sept équipes en quatre ans a assurément un vice caché. Ronfle-t-il en dormant ? Est-il un tueur en série ? A-t-il terminé des études supérieures ? On le découvrira bien assez vite. Le scandale est à nos portes, et vous l’aurez appris ici en exclusive primeur. D’ici là, continuez de rêver aux futures montées à l’emporte-pièce de Alexander Avtsin en mangeant du blé d’inde.